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 Manfred von Richthofen

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MessageSujet: Manfred von Richthofen   Manfred von Richthofen Icon_minitimeDim 21 Jan 2007 - 2:34

Texte de présentation de mon capitaine sur pégase :





Le Baron Manfred von Richthofen était un commandant ingénieux, un habile stratège et un excellent guerrier. Il avait fait partie des joueurs d'épée de Carroburg et était même devenue Champion du Compte du Reikland. Par la suite et en quelques années, il devint l'un des soldat les plus décorés du Reikland et en récompense de ses faits d'armes, il fut attitré d'une baronnie situé a la frontière du Reikland et de la Bretonnie.
Il reçut plus tard un pégase, cadeau de Louen Cœur de Lion alors que celui-ci avait demandé l'aide de l'Empire pour contrecarrer les plans d'une gigantesque Waaagh. L'Empereur ne voulant pas dégarnir d hommes les zones frontalières à haut risque d'invasion, il demanda aux différentes Baronneries frontalières avec la Bretonnie d'aller aider au combat des peaux vertes. Une vingtaine de Baronneries fournirent ainsi hommes, équipements ou subvention et en une quinzaine de jours, une armée de 5000 hommes avait été levée. Manfred von Richthofen ainsi que 2 autres brillants barons furent désignés pour mener les troupes impériales.
En un mois, les troupes impériales furent sur le front. Les 3 barons s'étaient déjà consultés afin de se mettre d accord sur les tactiques de frappe de l'armée. Manfred et un des barons pensaient qu il valait mieux attendre les orcs sous un feu nourrit et contre attaquer a la fin ; même les bretonniens étaient d’accord la dessus. Le 3eme baron, Otto von Steffel était partisan du tir de couverture pendant que la cavalerie et l infanterie chargerait mais l'infériorité martiale et numérique des hommes de l'empire conduiraient toute tentative de se genre à un échec. Et se fut ce qu il le mena à sa perte.
Une nuit de pleine lune, alors que les orcs n'étaient qu'a quelques miles des campements Bretonno-Impériaux, Otto von Steffel fit lever le camp au tiers de l'armée qui lui avait été assigné (principalement constitué de troupes d'assaut et de quelques canons tractés). Une heure avant l aube, ce fut le bruits des canons qui réveilla Manfred. Il se leva sans prendre le soin d'enfiler son armure et partit rapidement rejoindre le campement de Konrad von Steinhoff, l autre baron, afin de voir ce qui s y passait. Mais il ne perçut rien d anormale alors qu il entendait toujours les canons tonner dans la forêt. Il fut rejoint par ce dernier et ils chevauchèrent à l’opposer des sons des canons avec des chevaliers de la Reiksguard vers le campement de Otto von Steffel. Celui ci était vide.
En une quinzaine de minutes, ils avaient rassemblés les nombreux chevaliers bretonniens et impériaux et après avoir revêtit leurs propres armures, ils se dirigèrent rapidement vers le bruit des combats, qui se faisaient de plus en bruyant. On entendait de moins en moins fréquemment les canons tirés et Manfred espéra qu il n’était pas trop tard. Il fit alors aller ses troupes a marche forcée et décida de partir en avant avec les quelques 1000 cavaliers qui l’accompagnaient. Commandés par le Duc de Castilles, les bretonnniens se chargeraient de flanquer l’ennemi alors que la Reiksguard, menée par Manfred s’efforcerait de percer les lignes ennemis. Konrad mènerait ensuite l’infanterie afin de soutenir la cavalerie. Lorsqu’ils arrivèrent sur le champs de bataille, l’Empire était en déroute : l’artillerie et les quelques unités de tir avaient été totalement annihilé, des chevaucheurs de loups ayant surgis des bois de manière impromptu. Quelques régiments essayaient encore de tenir le front mais la plupart battait en retraite. Manfred, aidé de ses chevaliers, essaya de trouver les champions et musiciens des unités en déroute, leur ordonnant de rassembler les troupes et de retourner a l assaut ou c'était le peloton d’exécution qui les attendait. Les soldats se rassemblèrent ainsi et retournèrent au combat à contre cœur. Quelques soldats continuaient pourtant de fuir mais Manfred ne pouvait leur en vouloir : les peaux vertes étaient 2 fois plus nombreuses et les régiments se faisaient déborder. Manfred se saisit d un des déserteur par le col et lui demanda :
« Où se trouve le Baron Otto von Steffel ? »
Le soldat, apeuré se recroquevilla sur lui même tout en répondant :
« Excusez moi mon Seigneur mais nous nous faisions massacrés et nous n avions d’autre choix que de…
-LA N’EST PAS LA QUESTION ! hurla Manfred. OU EST VON STEFFEL ?
-La dernière fois que je l’ai vu, il chargeait l’unité de gobelins de la nuit du seigneur gobelin avec les joueurs d’épées, gémit le troufion. Un fanatique est sortit de nul part et a pulvérisé sa monture avec son boulet. Le baron s’est ensuite relevé et a continué à charger ; il était dans un état frénétique. »
Manfred lâcha le soldat et rejoint ses cavaliers. Le temps était compté si ils espéraient retrouver Otto en vie.
Il mena donc personnellement la charge au cœur des lignes ennemis, empalant de sa lance de cavalerie 3 orcs et un snotlings perdu au milieu de cette boucherie. Ils progressèrent ainsi jusqu’à se retrouver au milieu de ce qui apparaissait comme étant le camps ennemi. Il se déroulait une véritable partie de cache cache, des soldats sortant des huttes et des tentes tandis que d autres allaient si réfugier. Manfred alluma une torche à l aide de son briquet et la lanca vers un groupement de tentes serrées. Le feu se propageait rapidement tandis que les orcs devaient faire face a ce nouvel ennemi. Manfred aperçut alors un groupe de joueurs d’épées formant un dernier carré et il se fraya un chemin avec ses cavaliers afin de les rejoindre. Il vit alors le corps du Baron Otto von Steffel qui semblait sans vie. Il mit alors pied a terre et s’assit a coté de lui en prenant sa tête dans ses bras. Otto souffrait de nombreuses blessures, et d après le nombre conséquent de gobelins gisant à ses cotés, il avait du se battre blessé vaillamment jusqu à son dernier soupir. Manfred ordonna a un groupe de chevaliers de transporter en dehors du champs de bataille la dépouille du défunt baron afin qu il puisse recevoir en temps et en heure des obsèques dignes de son rang. Cependant, le plus dur était encore à faire. Manfred ordonna à tous les fantassins de battre en retraite a l extérieur du campement alors que les flammes se propageaient encore davantage. Konrad arriva enfin sur le champs de bataille et fit obstruer les sorties du campement ennemi tout en faisant se lever un véritable mur de feu et de pique : les arquebusiers étaient assis et coucher devant les longues piques des soldats impériaux et tiraient sur toute peau verte essayant de fuire le camp en feu. Les bretonniens agissaient principalement en spectateur, s'amusant de ce véritable génocide et traquaient les quelques peaux vertes parvenant a s’échapper du camps en faisant s’abattre une palissade ou en survivant au saut depuis ces dernières.
Manfred repéra alors le chef de la tribu gobelino-orc. C’était un gobelin. Un grand et même tres grand gobelin. Il était particulièrement imposant et était presque aussi grand qu un hob-gobelin. Il portait dans sa main droite l’épée magique du Baron Otto von Steffel et était habillé de vêtements dorés qui avaient été retouchés grossièrement. Sûrement une prise qui avait été faite en pillant une caravane marchande et adapté pour qu elle aille a la créature. Manfred chargea le petit guerrier et découvra bien malgré lui que malgré la grande taille de sa nouvelle épée, il arrivait très bien à la manier. Il asséna un coup de tailleaux jarrets du destrier, sectionnant ainsi muscles et ligamments tout en parant le cou d’épée maladroit que Manfred avait lancé à son égard. Manfred se releva sonner mais non vaincu. Il fut contraint d abréger les souffrances de sa monture, sachant que celle ci ne parviendrait pas à survivre au brasier, ainsi mutilée. Une fois la besogne faite, il se retourna vers le seigneur de guerre qui l attendait patiemment, l'épée plantée dans le sol, les bras croisés autour de celle ci, les yeux dirigés vers le ciel, l'air de rien. Le feu avait formé un cercle autour d’eux mais il restait encore un mince passage jusqu’à une des sorties du camps. En travers du chemin se trouvait bien évidemment l’immonde créature. Elle siffla alors à Manfred :
« Hey, le gran z’homm ! toi aussi tu vien pour m’refilé ton éper ? Sui daven lété pa coriass, gés pair ke tu fra mieu ! »
Fou de rage pour un tel affront fait à un baron, défunt qui plus est, Manfred se jeta sur le gobelin. Il frappa sur le flanc de la créature verte mais celle-ci ne tenta même pas d’esquiver le coup. Sous la violence de l’impact, l’épée se brisa mais le gobelin ne bougea pas. Il portait une armure, forcement magique puisque le lourd espadon de Manfred avait été brisé, alors qu'il était fait du même alliage que les puissantes armures des chevaliers de la Reiksguard. Profitant de l’effet de surprise et du décontenancement de son adversaire, le gobelin lanca un poignard droit en direction du cœur du Baron. Ce fut au tour du gobelin d’être surpris car Manfred aurait très certainement périt si il n’avait pas lui aussi, eu une solide armure, faite de plate complète. Les deux adversaires se firent face. Manfred n’eut pas le temps de rechercher une nouvelle arme et le gobelin enfonça l’épée magique dans l’épaule de l’humain. Celle ci traversa sans peine le solide métal et instantanément, le baron ressentit une intense douleur. Il serra les dents lorsque le gobelin retira non sans mal l’épée de l’épaule. Manfred s’écroula. Il se releva mais la monstruosité verte lui asséna un revers de la garde dans la figure. Il retomba. D’une de ses mains, il ramassa des cendres et de la terre et envoya ce mélange de poussière à la figure de l’adversaire. Celui ci cracha un mélange de jurons trop grossiers pour être retranscrits dans ces lignes et, tandis qu il essayait de recouvrer la vue, Manfred se dépêcha de rejoindre la sortie avant que les flammes ne le dévorent. Le gobelin mis peu de temps à s en rendre compte, ramassa l’épée magique et perçut sa cible dans la fournaise. Il lui donna la chasse et fut assez chanceux pour rattraper son adversaire qui trébucha et resta au sol à une 20aine de mètres de la sortie. Il fut instantanément sur lui et, dans un mouvement acrobatique, sauta en l’air afin de lui pourfendre le crâne. Cependant, Manfred se retourna alors et pointa une lance droit sur le gobelin qui arrivait sur lui. Ce dernier si empala naturellement, entrainé par sa vitesse, l'armure magique ne pouvant le protéger de l'instrument pointu et si bien affuté. Manfred se releva, pris la lance avec au bout le gobelin toujours en vie, et, de manière similaire à un méchoui, emboîta celle ci entre deux mats de tente et fit tourner le gobelin sur lui même au milieu des flammes ; Manfred ramassa ensuite l’épée magique.
Il se dirigea vers la sortie la plus proche et vis juste derrière celle ci, une pile de cadavre de peaux vertes que des soldats étaient en train de dégager. Il l’escalada et une fois au sommet, jeta un dernier regard sur le camp. La méthode de construction avait été ingénieuse pour des gobelins et ressemblait beaucoup aux techniques impériales. Le camp était traversé par deux axes principaux et il y avait une multitude de petites voies construites parallèlement. Une entrée aboutissait au bout des grands axes. Décidément, les gobelins n’aurait jamais de cesse de lui créer des surprises. Il rejoigna Konrad von Steinhoff et ils regagnèrent leurs camps respectifs. Une aube rouge se dessinait à l’horizon. Ils avaient certes, remporté une victoire et exterminé le roi gobelin mais l’armée n’avait pas été entièrement détruite et une multitude de nouveaux clans s’étaient formés. Et à quel prix ? Plus du tiers des hommes reposaient sur le champs de bataille, abandonnés aux loups ou se consummant lentement dans le brasier.
Une fois la lisière de la forêt rejointe, l’armée s’arrêta et un temps de silence fut observé à la mémoires des soldats tombés. On érigea une estrade ou l’on plaça le corps du défunt Baron. Alors que les prêtres guerriers prononçaient des chants grégoriens afin que Sigmar accueil les hommes tombés parmis les siens, on bouta le feu au tombeau improvisé du noble.
« Nous te prions, Sigmar, de bien vouloir accueillir à ton banquet, les âmes de nos défunt frères. Au nom de l’Empire, de l’Empereur et du Saint Sigmar…
- AMEN ! »


Manfred pouvait encore voir au loin se dessiner les panaches de fumés de l’ancien campement gobelin. Le moral des hommes était au plus bas mais il n’était pas question de rentrer chez eux tant que la menace de la Waaagh n’était pas écarter…
Ainsi au bout de deux mois de rudes combats, les troupes de l’Empire purent se retirer. L’ennemi avait été davantage désorienté que ce à quoi s’attendait Manfred et ainsi, il avait pu tendre une série d’embuscades, volant de victoires en victoires.
Une fois rentré chez lui, un émissaire bretonnien lui apporta un message du Roi Louen Cœur de Lion les remerciants, lui, Konrad von Steinhoff et Otto von Steffel au nom de son peuple de l’avoir aidé a repousser les peaux vertes sur un large front et exprimant aussi ses sincères condoléances pour ce dernier. Il lui demanda aussi dans sa missive de bien vouloir remettre un message de remerciement à l’Empereur Karl Franz. Le messager lui offra aussi un jeune pégase toujours au nom du Roi, lui expliquant qu’il venait des écuries royales et était un gage d’amitié de Louen Cœur de Lion. Il s’appelait Brise Légère.
Un lien fort se noua entre Manfred et son pégase à tel point que Manfred part toujours au combat sur son dos. Il fit faire sur mesure un carapaçon rouge pour celui ci, lui permettant de lui rappeler dans quelles circonstances sanglantes il avait obtenu sa monture.


Depuis lors, de par le régiment d’où il venait, de son impitoyabilité avec ses ennemis et sa façon de frapper des cieux alors que l’ennemi ne s’y attendais pas, on le surnomma à travers l’Empire : Manfred von Richthofen dit, Le Baron Rouge, la terreur des cieux.
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MessageSujet: Re: Manfred von Richthofen   Manfred von Richthofen Icon_minitimeMar 23 Jan 2007 - 2:04

up




SVP un petit commentaire, c'est mon premier texte et j aimerai pouvoir connaitre (le peu) qu'il vaut


N hesitez pas a faire des commentaires un peu durs, on apprend de ses erreurs et je veux apprendre ^^.
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Hans von Fahnenbrazt
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MessageSujet: Re: Manfred von Richthofen   Manfred von Richthofen Icon_minitimeSam 10 Fév 2007 - 12:54

Beau et bon récit.

Petit clin d'oeil à l'histoire Baron Rouge.
J'aime bien l'histoire et j'attend la suite avec impatience: ça c'est du récit comme j'aime.
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MessageSujet: Re: Manfred von Richthofen   Manfred von Richthofen Icon_minitime

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