Rheden : carrefour des voyageurs

Comme tous les matins, Isaac se leva à l’aube afin de préparer son établissement à accueillir la clientèle journalière.
Il tenait la seule Auberge du village de Rheden et avait beaucoup à faire entre, les habitués des lieux et les voyageurs qui empruntaient se carrefour séparant le comté de l’Ostemark de celui de Kislev ou encore des Montagnes du Bord du Monde.

Avec son ancien compagnon de bataille, Vitaly, ils s’étaient installés dans ce bourg afin de profiter d’une retraite militaire bien méritée.
Ils s’étaient offert l’ancienne auberge du village qu’ils avaient transformé en un lieu de villégiature dans lequel il y faisait bon se reposer, ou y boire un verre à la taverne mitoyenne.

Vitaly, lui son truc c’était la cuisine, qu’il avait apprise auprès des halfings du Mootland lors d’une campagne militaire dans la région.
Il proposait des plats divers et variés, venus d’à peu près toutes les régions de l’Empire, mais sans cela, ses tâches quotidiennes s’arrêtaient aux commandes de victuailles et à la mise en place de la salle.
Isaac, passait le plus clair de son temps derrière le comptoir et tenait le registre des chambres de l’auberge.

Afin de pouvoir répondre aux demandes de la clientèle, la jeune Anna avait été embauchée pour s’occuper du service en salle et du ménage de la taverne comme de l’auberge.

Aujourd’hui, Isaac devait se rendre à la caserne du Rheden pour y rencontrer le nouveau sergent, un certain Van Bâle.
En tant qu’anciens militaires, Isaac et Vitaly avait toujours été tenus informés par la garde du moindre problème qui pourrait nécessiter leurs talents.

- Vitaly ! Vitaly ! Je vais à la caserne, je te laisse t'occuper du bar durant mon absence ! hurla l'aubergiste à son acolyte qui s’afférait en cuisine pour préparer le repas du midi.

Sur la route il rencontra le prêtre du village, Artorius, un homme au caractère fort, ne laissant rien au hasard et guidant les habitants de Rheden vers le culte Sigmarite.

- Comment allez-vous mon père ? l’interpella Isaac.
- A merveille mon cher, lui répondit presque aussitôt l’homme d’église. Qu’est ce qui vous traine hors de votre couche en cette matinée ? continua t-il.
- Vous devez être au courant qu’un nouveau sergent vient de prendre ses fonctions dans la caserne, … Van Bâle qu’il s’appelle de mémoire.
- Ah effectivement, j’en ai entendu parler. Sais-tu pourquoi il a voulut te rencontrer ? poursuivit Artorius.
- Pas le moins du monde mon père, je vous tiendrez informé de mes impressions sur ce type et sur ce qu’il pourra me raconter.
- A plus tard alors. Sois en paix mon fils ! Que Sigmar te garde.Conclut le prêtre, en effectuant un signe de croix.

Tout deux se tournèrent les talons, chacun retournant à ses occupations, l’un vers la caserne, l’autre à la taverne du village pour y déjeuner comme chaque matin.


- Skil - au prochain ...

- Holà l’ami, retentit derrière Isaac, où cours tu donc ainsi ? N’as-tu pas oublié que l’on devait aller chasser des faisans aujourd’hui, mon premier jour de permission depuis 2 mois ?

Isaac se retourna et se trouva nez à nez avec Kris Krugger, un petit sergent du détachement des archers du Talabheim. Détachement rattaché à la garnison de Rheden afin de participer à un exercice commun. Isaac expliqua l’empressement de ses pas à Kris et celui-ci ne tarda pas à laisser repartir Isaac.

Ces gens de du nord doivent certainement vouloir organiser une grande fête en secret se dit il alors qu’il cherchait à nouveau de quoi faire pour s’occuper l’esprit.

Soudain emplit d’une curiosité qui n’était pas dans ses gênes, il suivit à distance Isaac, espérant pouvoir apprendre pourquoi l’air ambiant semblait si lourd.

- au suivant -

Trois semaines qu'il les traquait, et toujours aucun signe d'eux. Gallen commençait à désespérer, cette bande d'orque laissait pourtant derrière elle de nombreuses pistes: restes de campements à peine camouflés, feux mal éteints et une piste de traces de pas qui pour son regard exercé, se voyait comme un sentier battu. Mais rien à faire, il n'arrivait pas à les rattraper. Lorsqu'il arriva en haut de la colline, il s'arrêta net. Devant lui, au fond de la vallée, un paisible village de l'empire perdu au milieu de ces régions hostiles. Ce serait sans doute la future cible de cette bande armée, que représentait un village de moins d'un demis millier d'habitant pour des dizaines de peaux vertes ...

Quoi qu'il en soit, il se devait de rester quelques jours sur place pour étudier la situation. Théoriquement, une bourgade de cette taille ne devrait pas trop lui causer de soucis bien que Gallen savait depuis longtemps que la théorie c'est une chose, et les faits son exact opposé. Il descendit la pente tout en enlevant sa capuche, à vouloir être trop discret on ne verrait que lui ici.

Arrivé sur la place principale, il chercha l'auberge puis y entra. Un homme d'aspect correct se tenait derrière le comptoir:

-"Bonjour, je peux vous aider ?"
-"Cela m'étonnerais que non mon brave vu que je cherche une chambre."
-"Vindju ! J'avais pas vu que t'était si jeune, tu es pas un gamin en fugue j’espère ?"
-"Je l'ai été ... il y a longtemps ... mais bref, avez vous des chambres libres ? Monsieur ... ?"
-"Je m'appelle Vitaly ! Et cela se pourrait bien."
-"Parfait, cependant, je n'ai presque plus d'argent à proprement parlé; Mais une grosse quantité de produits rares et précieux venu de la forêt."
-"Je te préviens, on ne troque rien ici et tu n'est pas le genre de type à qui on peut se permettre de faire crédit."
-"Je n'ai jamais sous-entendu ça, ni même pensé un seul instant. Mais y aurait il un sorcier ou un apothicaire parmi vous ?"
-"Tu n'as pas de pot. Ici il n'y a qu'un prêtre de Sigmar et pas un de ces sorciers au chapeau pointu des villes."
-"mmmh ... et vous savez si il y aurait moyen que je puisse le rencontrer ?"
-"J'agrée à votre demande mon garçon, laissez moi juste le temps de déjeuner je vous prie."

dit Artorius qui venait d'entrer dans l'auberge.

Albrecht se tenait debout, somnolent, son hallebarde dans la main droite. Le nouveau Sergent Van Bâle lui avait donné l'ordre de garder la porte de la caserne, ce qu'il faisait depuis plusieurs heures déjà dans une ambiance assourdissante de silence.

C'est avec un zèle discutable qu'il aperçut Isaac, l'aubergiste du village, se diriger dans sa direction d'un pas vif, étrangement vif compte tenu de l'heure matinale.
- Alors Isaac ? Quoi de neuf chez les retraités ?
- Très drôle jeunot. Ouvre donc la porte, je dois voir ton Sergent."

Le jeune soldat s'exécuta sous le regard du vétéran. Ce dernier lui adressa une tape dans le dos :
- File donc à l'auberge mon grand, tu l'as bien mérité après cette dure garde.

La porte se referma sur Isaac et sur ses bonnes paroles, laissant le factionnaire seul dehors. Albrecht se mit en marche vers la gargotte, c'est à cet instant qu'il rencontra Krugger, sergent des archers.

Krugger salua son collègue, en gesticulant dans tous les sens essayant de respecter les bonnes manières de cette contrée.

- Bien le bonjour soldat, quelle nouvelle de la caserne, dit finalement Krugger. Vous savez c’est mon premier jour de permission dans la bourgade depuis l’arrivé de mon contingent, hélas le soleil n’est pas à son zénith que je m’ennuis déjà.

Albrecht invita son nouveau collègue à l’accompagner à la taverne, histoire de faire plus ample connaissance, et d’expliquer les multiples lieux touristiques de la région.

Alors que le duo s’attabla au fond de la taverne, Krugger commanda deux pintes de bières brassées par les nains et des entremets du Moot.

- N’hésitez pas sergent à commander ce qui vous fera plaisir, ma mission ici me permets certains avantages, et non des moindres.

Le regard de l’archer fût soudain attiré par la scène qui se déroulait entre un voyageur, Vitaly et le père Artorius. Croisant le regard d’Artorius Krugger lui fît un signe de la tête, il ‘avait pas rejoint un ordre religieux mais Krugger n’en était pas moins croyant.

Isaac parvint enfin à rejoindre la caserne.
Certe il tenait le lieu le plus animé du village, la taverne, mais il ne supportait guère le contact, de manière répété, avec les villageois.

Il avait apprit a se méfier de n'importe qui en ce bas monde et surtout des autorités compétentes.

Il arriva devant le seuil de la porte du bureau de Van Bâle.

- Entrez ! C'est ouvert ! lui avait ont répondu, une fois que celui-ci ai frappé.
- Sergent Van Bâle, c'est un honneur. Entama Isaac, dans un salut militaire toujours aussi irréprochable.
- Ah ! s'écria le nouveau sergent, vous devez être le fameux Isaac. Vitaly ne vous a pas accompagné ?
- Excusez le, il a déjà beaucoup à faire à la taverne, la clientèle n'attend pas.
- Si je voulait vous voir mon cher, c'est qu'une caravanne de marchand devrait arriver d'ici deux à trois jours. Celle-ci permettra a chacun de faire ses petites affaires, mais nous savons très bien vous et moi, qu'elle peut aussi attirer bon nombres de brigands ...
- Ola ! Ola ! Je vous vois venir Sergent, rétorqua Isaac sèchement. Vitaly et moi même avons raccroché nos armes depuis longtemps et ne les sortons qu'en dernier recours. Continua t-il.

Van Bâle se retourna, farfouilla dans l'étagère derrière lui et se retourna en tendant à Isaac, un parchemin frappé du sceau du Comte de l'Ostemark.

- Peut être que cette raison vous convient-elle à présent ? ajouta le sergent.
- Nous y réfléchirons. Isaac tourna les talons et sortit de la pièce, le parchemin à la main.

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Pendant ce temps, à l'auberge, Vitaly servait les premiers déjeuner, tandis qu'Anna s'occupait d'amener les victuailles aux différentes tables.

Au menu du jour, du cerf, chassé il y a deux jours de cela par le jeune Kris.
C'est un bon garçon, pensa Vitaly, il fournissait de temps à autre du gibier au cuisinier quand Isaac n'avait pas le temps de chasser lui même. En définitif, des personnes serviables comme ce gars, il n'en existait plus ou alors très peu.

Vitaly fut tiré de ses pensés par la jeune serveuse qui revenait au comptoir chercher de nouvelles boissons.

- Et deux pintes naines pour la table du fond. Et que ca saute !
- Ca marche ! répondit Vitaly. Tu dira à Kris que j'offre ma tournée, le cerf était de qualité exceptionnelle ! termina t-il.

Alors qu'Anna se dirigeait vers la table en question, le bras chargé de son plateau de service, le cuisinier aperçu Isaac traversant la rue en direction de l'établissement. L'air affligé qu'il dégagé ne plu pas à l'ancien vétéran de guerre qui sommeiller en lui.




SKil,

"Un peu étrange ce Sergent mais il est sympathique et respectueux malgré son uniforme rouge et blanc", se dit Albrecht tandis qu'il s'était mit dans la tête de brosser l'histoire de l'Ostermark à son interlocuteur. Anna arriva avec les deux mousse, coupant ainsi le conteur dans le récit de la défaite du Tyran ogre Breaksus.

-C'est qui cet étranger ? Lui demande le jeune Ostermarker tout en le montrant de la tête.
Sais pas. Je crois que c'est une sorte de trappeur ou de rôdeur qui vient faire ses affaires. Il attend que Père Artorius ait fini son déjeuner. Sans attendre de réponse, elle s'éloigna.

- J'ai remarqué qu'il y a pas mal d'étrangers qui passent par ici. Et pourtant, il n'y a pas si souvent de problème, intervint l'archer.
- Vous avez raison, il y a bien un ou deux agités de temps à autre mais on veille au grain. On s'assure que personne ne reste suffisamment de temps ici pour créer des problèmes.

Tout en parlant, le jeune hallebardier héla l'inconnu :
- Une petite mousse mon cher ?

Le prêtre venait de fini de manger

-"Alors que puis je pour vous jeune homme ?"
-"J'ai besoin d'argent, juste de quoi séjourner ici trois ou quatre jours."
-"Vous ne vous attendez surement pas à ce que je vous paye l'auberge."
-"Loin de moi l'idée mon père mais j'ai peut être certaine choses qui pourraient vous intéresser ..."
-"J'en doute fort."
-"Peut être, connaissez vous ceci ?"

Alors que Gallen sortait de son sac un étrange petit coffret de plomb, le prêtre s'arrêta de boire son thé.
Et lorsqu'il l'ouvrit pour révéler une petite pierre semblable à une opale mais de couleur émeraude, Artorius recracha violemment ce qu'il avait en bouche.

-"Qu'est ce que ... !"
-"Oui mon père, de la malepierre."
-"Que ... d'où connaissez vous ce nom ? Et où avez vous trouvé ça ?!?!"
-"Cela n'a pas d'importance, je la garde sur moi en cas de nécessité. Si vous vous arrangez pour que je puisse rester quelques jours sur place je la cède volontiers à l'église sigmarite en guise de payement."
-"Je devrais saisir cette artéfact du chaos et vous faire pendre pour votre insolence gamin !"
-"Comme bon vous semblera, sachez juste que mes intentions sont des plus honnêtes et que ma présence ne causera aucun trouble ici, je ne suis qu'un humble serviteur de l'empereur qui s'efforce d'aider de son mieux face au chaos ..."

Artorius était perplexe ...

Jamais Artorius n'avait eu location de voir de la malepierre. Il avait étudié les méfaits de cette artefact durant ses études au monastère sigmarite.
Calmement il s'adressa au voyageur qui lui faisait face :

- Écoutez jeune homme, si vous voulez que je vous face confiance, vous devez me dire où vous avez trouvé cette chose !
Gallen hésita un moment et dans un dernier soupir pris la parole.
- Je poursuis une bande d'orque depuis plusieurs jours déjà, cela ne m'étonnerais pas qu'ils arrivent au village d'ici peu.
- Mais quel rapport avec cette pierre ? balbutia le prêtre.
- J'ai l'ai retrouvé dans les restes de leur campement et cela ne me dis rien qui vaille. Croyez vous les peaux vertes assez intelligents pour s'allier à un chef de guerre skaven ?
- Ne dite pas de bêtises mon enfant ! Sigmar vous pardonne pour ces propos incohérents.
- Laissez moi ...
- Je ne vous laisse rien pour le moment, coupa Artorius, je dois en parler aux autorités compétentes à savoir le Sergent Van Bâle, mais aussi Isaac.
Sans un mot de plus, l'homme d'église attrapa Gallen par la manche et lui ordonna de le suivre à la caserne afin d’éclaircir la situation.
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Pour Vitaly, il était temps de ranger la cuisine et d'aller se reposer.
La matinée n'avait pas été mouvementée et généralement en cette saison les voyageurs étaient peu nombreux.
Les victuailles avaient été replacées dans la remise et Vitaly s'échappa par l'arrière boutique qui donnait sur les champs avoisinants le village.
C'est a cet instant qu'il aperçu une forme sombre dans le sous bois qui lui faisait face. Alors qui cherchait à mettre un nom sur ce qui pouvait ce cacher au loin, il aperçu un symbole bien distinctif, un symbole qu'il ne pouvait oublier.
Une lune jaune sur fond noir. En dessous de celle-ci, sous la capuche, un nez pointu et crochu. Un nez vert !

Plus aucun doute, c'était un gobelin.
Vitaly fit mine de ne pas l'avoir vu et retourna à l'intérieur de l'auberge.

Le gobelin embusqué se déplaça lentement, afin de changer de poste de vue. Soudain, un trait jaillit de l'ouverture de la porte du bâtiment, filant aussi vite que le vent, la flèche alla s'enfoncer dans la poitrine du gobelin, qui tomba inerte au sol.
Le cuisinier apparut dans l’entrebâillement et s'avanca vers sa victime :

- Au moins il ne fera pas de compte rendu, s'empressa de dire Vitaly à voix haute.

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Au suivant ...

SKil,

Gallen soupira alors qu'il se laissait tirer sans résistance, sa question avait eu l'effet malheureusement attendu. L'empire reste aveugle à la menace, certes il s'était juré de ne plus s'impliquer émotionellement avec les gens qu'il aidait mais ce n'était pas simple tous les jours ...

Cette pierre, il ne l'avait pas trouvé dans le campement. Non un chef orque, aussi stupide soit il, n'aurait jamais abandonné le présent qui lui avait été fait pour l'acheter.

Gallen se rappela: Nuln, le chasseur de prime qu'il avait devancé et qui réclamait vengeance, les égouts en guise d'endroit où passer la nuit en sécurité, le froid, la puanteur, et eux ...
Il étaient deux, le premier avec un coffret en plomb, l'autre avec une paire de dague progressant en tête. Gallen avait encoché et tué celui armé avant qu'ils ne l'aient senti derrière eux. Le second n'avait pas eu le temps de comprendre qu'il rejoignait son camarade.

Toutes ces histoires des nains et des elfes des forêts et qui il n'avait jamais voulut croire venaient de prendre formes à travers deux cadavres mi-humains mi-rongeurs. Cacher les corps n'aurait servi à rien. D'après les contes nains, les hommes-rats étaient légions sous les villes humaines, seule la fuite ou une armée pouvait espérer survivre face eux. Il avait juste ramassé le coffret de plomb et quitté la ville dans l'heure pour retrouver la sécurité des bois.

Maintenant il fallait continuer sur ce mensonge et argumenter, car si les écrits nains étaient vrai, une telle organisation de la part des orques n'était pas naturelle et cachait des intrigues plus profondes, dans tous les sen du terme. Un chef de guerre orque ne progresse pas si vite sans savoir où se trouve la seule résistance valable de cette région perdue si on ne lui a pas dit expressément où aller. Mais le plus troublant repose plutôt dans leur campement. Même pour un humain, il est bien camouflé à quelques détails près, et ce n'est certainement pas l'oeuvre des orques ni des gobelins. Quelqu'un les aide ...

Gallen sortit de ces pensées alors qu'ils arrivaient devant ce qui devait servir de caserne, c'était l'heure de se justifier. Face à des gens qui le prendrait de haut au vue de son jeune âges et qui le traiteraient de sôt quand il abordera un sujet dont personne ne veut entendre parler. Mais pourquoi donc est ce qu'il était venu ici ?!?!