l'amiral Krieg

Le nouveau monde terre de jungle et de trésors mais surtout de mort.

Hans regardait la côte d'un vert clair quand soudain l'amiral sortit sur le pont. Peu de personnes avaient l'honneur de servir sur l'Asworl, vaisseau de cent canons avec prés de sept cent hommes d'équipage, officiers compris. L'amiral adressa la parole à Hans :
-Monsieur Fahnenbrazt veuillez faire entrer l'Asworlf dans l'estuaire de cette rivière
- Bien Amiral, Hans hésita un instant puis se lança: Veuillez m'excuser Amiral mais que comptez vous faire ?
- Un vaisseau Asrai se cache au fond de la forêt, sur cette rivière même nous irons donc jusqu'à lui puis nous l'abattront avant qu'il ne puisse s'échapper.
-Est-ce toujours le même que nous poursuivons inlassablement depuis Naagaroth jusqu'au Cathay, la dernière fois il nous a amené jusqu'au côtes du Pays des Trolls.
-Oui c'est bien lui et nous l'auront cette fois.
- Bien Amiral.

L'Asworfl pénétra dans la rivière. Celle-ci était trés profonde et permettait de faire passer même un bateau de si grand tonnage et calant prés de douzes pieds sous l'eau. Ainsi la remontée du fleuve commença au grand dam de tout les marins suant eau et sang sous ce soleil de plomb digne des plus grands désert d'Arabie. Cela faisait un grand contraste avec la neige et le froid de la mer des griffes en hiver. Les marins, malgré la chaleur, étaient inquiet car ils sentaient la présence de silhouettes noires furtives certes mais que leur intuition désignait comme mortelles et dangeureuses.

Cela faisait deux jours que l'Asworlfremontait le courant à l'aide du magicien du vent Friedrig Weise, grâce à ses capacités de mage des colléges de magie. Enfin la galère enemie apparut dans l'aprés-midi , les hommes d'équipages poussèrent des hourras en voyant l'enemi qu'ils traquaient depuis cinq mois.
-Dois-je faire sonner le branle bas Amiral ?
-Allez y Hans, voyons comment vous vous débrouillerez quand vous recevrez le commandement de ce navire à ma mort.
- Ne dites pas cela capitaine. On dirait que vous sonnez votre propre mort!
-...
- BRANLE BAS DE COMBAT CHACUN A SON POSTE DE COMBAT ,beugla Hans tout en saisissant la grande banniére offerte par l'Empereur en personne.
Dans un roulement de tonnerre toutes les pièces d'artillerie furent mises en place, chargées et prêtes à tirer. Le maitre ingénieur de Nuln passait pièce par pièce pointer chaque canon en grommelant quelque mots incompréhensibles sur la portée d'influence balistique et de la charge de poudre proportionnelle au frottement de l'air. Le navire Asrai était en pleine effervescence et bientôt une pluie de carreaux d'arbalètes ou de traits de balistes, déchira les voiles et sema la mort sur le pont de l'Aswolf. La réponse des impériaux fut encore plus dévastatrice démattant les Elfes Noirs, les boulets traçant des sillons sanglants dans la chair Elfe. La galère tenta une sortie pour s'échapper du fleuve avec le courant et les rames mais un boulet tiré par le plus gros des canons, celui dirigé par le maitre ingénieur, detruisit toutes la rangées de rames tribord. Le navire désemparé fut mis à rude épreuve par les boulets. Finalement l'amiral ordonna de faire cesser le tir. Puis criant aux Elfes Noirs.
- Rendez vous! Vous n'avez aucune chance de nous vaincre!
-Jamais
Puis dans un craquements effroyable un eclair noir jaillit du vaisseau elfe noirs et s'abattit sur le mat qui s'effondra sur le pont emportant avec lui beaucoup de marins et d'arquebusier postés dans les hunes du mat. En réponse à l'eclair une salve partit du côté tribord qui detruisit le vaisseau Asrai.

-Magnifique victoire n'est ce pas Amiral Krieg? Hans était heureux d'avoir vaincu les elfes noirs , une traque de cinq mois qui aurait aboutit à un échec aurait abattu le moral de l'équipage. Mais aprés tout ce temps passé en mer la victoire n'en était que plus grande.
Mais en se retournant il ne vit pas le capitaine. Il alla vers un aspirant de marine celui ci lui indiqua du doigt le mat effondré , dessous gisait un homme mourant dans une armure dorée : L'amiral Krieg
- Je vous confie le commandement, Hans von Fahnenbrazt veillez sur l'Asworl.
-Bien Amiral ,dit Hans avec la raideur et la discipline qui font la puissance de la marine impériale,puis s'adressant à l'aspirant , Cap nord-nord-ouest monsieur et appelez le prêtre de sigmar.

Trés bon texte ! Vraiment j'ai aimé !
Mais alors y'a un truc ENORME qui m'a déçu : Asrai c'est un mot elfique que les humains ne connaissent pas, et encore pire, ce sont pas les Elfes Noirs, mais les Elfes Sylvains !
Asur : Haut-Elfe
Druchii : Elfe Noir
Asrai : Elfe Sylvain

C'est vrai que cette histoire maritime est pas mal. Un navire elfe noir en moins!!

Cependant j'ai du mal à faire la comparaison entre le grand vaisseau impérial et la galère elfe noir. Je pense que tu aurais du approfondir pourquoi les impériaux pourchassaient ce bateau sur une si longue distance. Je pense que tu as vu "Master and Commander". On y comprend bien pourquoi les anglais veulent couler les français.

alors la j'ai fais une de ces bourdes en confondant les elfes sylvains avec lces infaaaaaaaaaames druchi non mais quel boulet
sinon pour master and commander c'est mon film préféré mais aussi pour les amateurs je me suis inspiré de la saga "captain Hornblower " de cecil Scott Forester

sinon l'éreur avec asrai ça montre bien mon nid veau :paysan
(HDP: Humour Des Paysans

Et maintenant l'histoire de Hans

Le nouveau capitaine Hans von Fahnenbrazt monta sur le pont de l'Asworl, il était vétu de noir car il était toujours en deuil. L'amiral Krieg avait été presque un pére pour lui; agé de quinze ans son village natal avait été attaqué par une bande de Druchii qui voulaient faire une réserve d'esclaves à sacrifier à Kaine, l'infâme dieu des Elfes Noirs. Mais les plus jeunes furent mis de côté pour que leur sang rajeunisse la matriarche qui avait lancé ce raid. Hans avait été choisi pour être sacrifié à la matriarche; le sacrifice avait lieu sur le bateau, les côtes impériales avaient déjà disparu et les villageois étaient inquiets, les plus vieux avaient été brulés vifs la veille au soir et tout les captifs étaient morts de peur rien qu'en pensant au sort qui leur serait réservé. Les parents de Hans avaient été brulés la veille et il en était traumatisé. Vint le moment des sacrifices, les furies égorgèrent tout les adultes dans un bain de sang elles souriaient et éclataient de rire devant les visages pâles des sacrifiés. Les enfants étaient parqués sur le pont encadrés par des corsaires Druchii, à la fin du sacrifice de Khaine les furies se dirigerent vers les enfants et choisissant le plus jeune elles l'amenèrent devant la matriarche; celle ci sortit son poignard et s'appreta à egorger l'enfant celui-ci n'était alors qu'un bébé ; la matriarche leva son poignard ..... et........ l'abattit.

AAAAAAARGH!!!!!!

Ce fut un cri qui glaça le sang de tous, même les Elfes Noirs habitués au cris de douleur des sacrifiés furent saisi d'effroi seule une personne n'eu pas peur :
-Mourrez tous chien je suis Hans von Fahnenbrazt fléau des hommenoiraulamempoisonnée venez me défier si vous l'osez !
A ses pieds gisait l'un des corsaire un poignard dans la gorge et Hans sabre à la main s'anvançait vers la matriarche, celle-çi laissa tomber le bébé par terre, l'enfant n'avait reçu aucun coup, sortit son immense sabre et le combat commença. La fille de Khaine n'était pas au meilleur de ses capacités car son bain de sang n'avait pas été fait mais pourtant elle surpassait de loin Hans. Celui-çi fonça sur la furie, mais elle para le coup sans difficulté.
- Sale impertinent tu ose me défier moi une Matriarche.
- Oui je n'ai jamais vu de femme gagner un duel contre un homme
- Tu m'insulte je suis une Druchii!!
Et le combat redoubla d'ardeur, la matriarche frappant sans relâche sur l'humain celui-çi restant sur la défensive en tentant d'éviter les coups mortels. A la fin, Hans était à bout de forces la matriarche n'eu q'un geste à faire pour désarmer notre pauvre héros .
-C'en est fini de toi pauvre humain tu rejoindra la mort comme tout les autres
-Peut-être mais au moins j'aurais eu le plaisir de te tuer .
La matriarche pointa son sabre sur la gorge de Hans. A ce moment un immense navire sortit de la brume et un boulet de canon traversa l'espace en un instant et traversa la Furie de part en part. Puis soudain une clameur monta du bateau qui aborda le navire elfes noir. Et comme par magie un immense flot de soldats impériaux débarqua sur le pont et massacra les elfes.

-Comment vas-tu ?
Un homme entre deux ages lui parlait, il était revétu d'une armure brillante comme l'aube cet homme n'était personne d'autre que l'amiral Krieg. Hans voulu immédiatement faire parti de son équipage et lui sauva maintes fois la vie.

Mais ce temps là était révolu, tout cela appartenait au passé qui s'en était allé avec Krieg rejoindre Sigmar et tout les autres héros de l'Empire . En mourrait un, en naissait un autre Krieg était mort et Hans vivait.

Essaye de faire attention aux fautes d'orthographe et à la ponctuation sinon la lecture est ardue. :)

Vive la marine de Sigmar

vive la marine de sigmar mon frère elle vous protége

mais pas des fautes d'ortographes chuis nul en orthographe enfin chfais de mon mieu

Fautes corrigées pour les plus grosses, je me suis aussi permis de rajouter quelques virgules et un point, le tout sans changer le style, mais en permettant au lecteur de souffler un peu...

Bon texte, même si la fin est un peu confuse et qu'il y a pas mal de fautes de style, enfin du genre:

Citation :

En mourrait un, en naissait un autre Krieg était mort et Hans vivait.

A mon avis il parle des héros: ( quand il y en a un qui meurt ( l'amiral Krieg) on en découvre un nouveau (hans) )
C'est vrai que sa formulation était un peu lourde