Et voici maintenant un épisode de la campagne du chaos qui fut un des grands actes de la résistance nordlander pendant la tempête du chaos.
La guérilla du Nordland
Pendant que la Tempête du Chaos se déroulait à Midenheim, une flotte d’elfes venue du Nord arriva sur les côtes du Nordland. Les défenses maritimes avaient été percées et la garnison côtière s’attendait à une attaque rapide sur un petit village au bord de l’eau. Mais d’après les dires des pêcheurs qui avaient vu la bataille de loin, il y avait une importante flotte d’immense galère d’où montaient des relents fétides et des cris de douleur à glacer le sang. Une telle armée ne pouvait être envoyée pour piller un village mais plutôt pour piller la province du Nordland entière…
Les elfes noirs attaquèrent directement à la garnison d’Orskile et la bataille dura longtemps entre les feus rugissant des batteries impériale et les sifflements des carreaux elfes. Mais à la fin la sournoiserie des elfes eu raison des humains et un contingent druchii arriva dans le dos des forces impériales et les décimèrent ce fut un désastre. Les elfes qui venaient d’arriver avaient en fait débarqués dans une crique non loin et avaient marchés pour attaquer le fort dans le dos.
Après des massacres semblables sur toute la côte nordlander les elfes noirs investirent tout le Nordland et son habitant durent se lancer dans une guérilla sans merci avec les druchii.
La troupe avançait péniblement dans les sous bois, il y avait là de tout les soldats : des hallebardiers au vêtement déchirés, des épéistes au bouclier ébréchés, des arquebusiers et des miliciens tout les hommes valides avait été armés il y en avait des encore très jeunes qui n’avaient que 15 ans à peine. La majorité de la population du Nordland s’étai jointe au guérillero du Nordland, il attaquait de jour comme de nuit les colonnes d’elfes noirs qui avançaient le long des routes vers Midenheim. Les druchii étaient arrivé en masse et avait envahi le Nordland, il y avait eu de grand massacre et des villages entiers avaient été rasé rendant fou les populations qui devenait des flagellants et qui erraient dans toute la contrée. Le capitaine Friederig ordonna de faire une pause :
-Halte ! Nous allons nous reposer ici.
-Bien capitaine, répondit le sorcier de l’ordre de la lumière, puis criant l’ordre du capitaine : Halte, on fait une pause !
Les soldats s’assirent autour de Friederig et l’on fit passer des morceaux de pain et de la viande salée, puis se fut le tour des gourdes d’eau. Pendant ce temps le capitaine réunit les chefs du petit groupe de guérillero :
- Qu’allons nous faire, commença un des jeunes sergents, nous n’avons plus de vivre et les hommes sont fatigués, nos victoires ne sont que harcèlements et nos pertes se paient plus cher que nos gains.
- Oui il a raison, renchérit le sorcier, mais nous nous battrons toujours pour libérer le Nordland, c’est notre terre et quitte à mourir autant que ce soit pour Sigmar que pour leur abominables dieux !
Le mage avait parlé si fort que tout les hommes l’avaient entendu. Ils l’approuvaient et cela leur remis du courage, ils se levèrent tous et crièrent :
- Le mage a raison nous nous battrons pour Sigmar !
- Oui pour le Nordland
- Et pour Sigmar
Friederig regarda ses hommes, ils étaient fatigués et à bout de forces et pourtant ils voulaient continuer toujours plus loin. Pour un tel acte de bravoure il était prés à faire n’importe quoi :
- Soit nous nous battrons, en avant !
La colonne elfes noire marchait à travers la campagne vers Midenheim. Elle longeait une forêt, les guerriers étaient confiant ils ne s’attendaient pas à une attaque et puis ils avaient avec eu un régiment de furies accompagné par la matriarche Morganie : ils étaient invincible. La colonne continua sur la route qui rentrait peu à peu dans la forêt.
Le capitaine ordonna une halte, les guérilleros étaient assez prés de la route et on entendait un cliquetis d’armure. Friederig envoya un groupe de chasseur en éclaireur. Ils revinrent bientôt en affirmant qu’une colonne druchii était sur la route. En apprenant ça les soldats n’hésitèrent pas une seconde et avant que le moindre ordre n’ait été donné toute la troupe couru à travers les sous bois.
Les elfes noirs furent surpris et les soldats impériaux en massacrèrent une bonne vingtaine puis le massacre commença vraiment les furies attaquèrent faisant beaucoup de mort et les impériaux ripostèrent avec l’énergie du désespoir faisant autant de victime que les furies. Friederig sortit son épée et l’abattit sur un soldat elfique le transformant en un tas de chair sanguinolente, son épée magique faisait des ravages. La matriarche dégaina ses sabres et décapita cinq impériaux en quelque gestes, Friederig fonça sur elle et lui abattit un coup féroce qui fut bloqué par un sabre. Morgagni rit d’un rire sadique et d’un revers de son deuxième sabre tenta de découpé le capitaine mais la lame fut dévié par une énergie magique provenant du talisman de Friederig. Celui-ci riposta avec un coup d’une rare violence et envoya la matriarche à terre, elle se releva mais retomba aussitôt le coup que lui avait porté Friederig était un coup mortel. Malgré cette perte les furies étaient toujours aussi combatives et faisaient beaucoup de ravage. Les humains tombaient les uns après les autres. La bataille semblait perdu pour les humains quand, soudain, un groupe de flagellant sorti du bois de l’autre côté de la route grâce à leur appui les nordlanders réussirent à vaincre les elfes noirs.
Après la bataille la capitaine chercha les flagellants mais ils avaient disparu. La troupe continua sa marche à travers la forêt, les hommes étaient ragaillardis de cette victoire importante malgré les pertes. Personne ne pensait aux flagellants qui les avaient aidés et sans qui ils seraient tous mort l’heure qu’il est. Seul le capitaine y pensait et il les avait vus, les flagellants les suivait à la trace pour les aider en cas de problème, ce serait très utile.
Cela faisait quatre jours que les guérilleros n’avaient pas croisés de troupes druchii mais tous savaient que les elfes étaient sournois et ils s’attendaient tous à piège quelquonque. Enfin au matin du cinquième jour ils entendirent le cliquetis de métal annonçant la venue de soldats. Ils chargèrent tous en même temps au moment où ils arrivèrent sur la route ils s’arrêtèrent tous et lâchèrent leurs armes. Ils avaient devant eux toute une colonne de chevalier de la Reiksguard : Ils étaient sauvés.
et voili voilou j'attend toutes les critiques