[Taverne] Au Gobelin Enrhumé

Salutation chers amis !

Ça fait plusieurs semaines déjà que je ne vois plus ou peu d'activité sur le forum. Ça doit être à cause les fêtes de fin d'année et les Tavernes qui vous ont bien occupé, ho je vous comprend. C'est pour ça que je vous invite dans cette taverne "Au Griffon Rouge" d'Altdorf (situé à trois rues de notre Conseil, si si   ). Si vous voulez, la prochaine fois on pourra aller au "Gobelin Enrhumé", c'est un peu plus loin, près du collège Améthyste, certes un peu lugubre, mais la bière y est très bonne   

Bon, si je vous ai fait venir ici c'est pas seulement pour boire une énorme quantité petite bière, mais pour discuter de nos façons de diriger nos armés respectives pour la gloire de l'Empire !

Bon commençons pas le plus important, les boissons, une bière pour moi ! Pas une naine, elles sont peu être bonnes, mais trop chère.



Mmh... Oui on a des problèmes d'argents au Middenstag, les comtes de la coalitions n'arrivent jamais à se mettre d'accord sur la part de financement pour l'entretient de l'armée...

Bon passons ces problèmes, j'ai une question à vous poser: Comment vous occupez vous de vos déserteurs ?

Dans ma coalition ça varie en fonction de l'armée, les brigadiers de Middenheim préfèrent décapiter, ceux de Talabheim préfèrent fusiller et les chevaliers panthères du Middenstag préfèrent pendre.
Nous les chevaliers d'Altdorf on n'a jamais eu ce problème, nos hommes ne désertent jamais   
Je parle de nos chevaliers, bien sûr qu'un chevalier ne déserte jamais, comme les chevaliers panthère c'est nos troupiers qui fuient, mais contrairement à eux, ce n'est pas notre rôle de s'occuper des déserteurs, c'est au commandement d'infanterie d'Altdorf de faire ce sale boulot. En fait en réfléchissant... On me dit que les troupiers d'Altdorf ne fuient jamais, mais j'ai un gros doute, j'ai l'impression que le commandement laisse fuir les déserteurs. Je peux les comprendre, c'est une perte de temps d'utiliser nos Forces à exécuter quelqu'un, et puis c'est la crise, vous avez vu les prix des cordes des pendus ? 10 pièce d'argent ! A l'époque c'était 5 pièces de cuivre. Ils peuvent se vanter d'avoir un trésor de croisade inépuisable ces panthères, ils peuvent s'acheter de la corde de luxe eux   

Ceux qui se font le plus chier c'est ceux de Talabheim, leur Capitaine Wilhelm s'entête à vouloir fusilier les déserteurs, il dit que c'est la façon la plus propre et la plus moderne d’exécuter. L’inconvénient c'est que dernièrement le Comte suppléant de Talabheim a congédié ses Arquebusiers de la brigade, faute de moyen pour entretenir d'unité. Du coup le Capitaine Wilhelm supplie les arquebusiers de Middenheim pour exécuter ses déserteur, un vrai cinéma  

Tiens, un sujet à flood ^^

Heureux de partager une chope de bière ici.
Enfin bref, moi les déserteurs je suis pas partisan de les mettre à mort aussi sec. Je suis un peu plus subtil avec eux. Tout dépend non seulement de leur grade, mais aussi du fait que l'action soit individuelle ou collective.
Pour un péon de base, si je le choppe tout seul, des coups de fouet et il rejoint la troupe aussi sec. Hors de question de le perdre, et faut donner une leçon, tant à lui qu'aux autres. Après si le guet l'attrape pour moi, qu'il croupisse un peu dans leurs cellules.
Dans le cas d'une action collective, là y'aura de la mise à mort. Une pendaison tous les dix déserteurs, voilà. Et un peu le fouet aux autres, pour leur apprendre. Et je sais qu'on peut dire que s'il sont nombreux je vais passer des heures à manier le fouet, mais là ce n'est plus de la désertion, c'est juste que ma ligne de bataille a cédé (ce qui bien entendu est impossible, après tout mes soldats sont des fiers serviteurs de l'Empire.   ).
Après pour du soldat de plus haut rang... Dégradation déjà (et radié de l'ordre si c'est un chevalier, parce qu'il faut pas déconner). Ensuite, le même traitement qu'aux autres, et il rejoint la troupe. En première ligne face à la charge des massacreurs de Khorne, pour lui apprendre un peu la vie (et la mort).

Voilou c'est comme ça que je les traite moi ^^

Silverhand a écrit:

Tiens, un sujet à flood ^^

Ouiiii, vive le flood   

Après il y a déserteur et déserteur.
Un groupe de soldats qui fuient le champs de bataille est plutôt normal, sauf s'il y a un capitaine et la grande bannière. Dans ce dernier cas c'est intolérable !
Il est arrivé plusieurs fois de voir la brigade du Middenstag fuir, nous ne sommes pas invincibles. Les soldats fuyards qui reviennent après leur course sont toujours les bienvenus dans nos rangs, mais nos commandants doivent quand même juger si leur fuite était justifiable. En général nos capitaines sont assez cléments, et surtout nos hommes sont des réguliers, ils ont peu d’excuses à fuir le combat sans motif valable. (surtout qu'on peut facilement les retrouver, on connais leurs domiciles et leurs têtes seront mises à prix dans tout le Talabecland, le Middenland et le Reikland s'ils s'avéraient qu'ils ont vraiment déserter).

S'il s'avéraient que les troupiers aient vraiment déserté dans le seul but d'éviter le combat et de quitter l'armée, là il y aura des exécutions !

C'était déjà arrivé contre un de nos plus grand ennemi, un vampire, vaincu depuis, où on a mené bien nombre de batailles, beaucoup de sont soldés par un échec mais les dernières étaient décisives et on a pu vaincre notre ennemi sur les côtes de Kislev.
A cette bataille, c'était moi qui commandait l'armée, sur un griffon. Le régiments des Piquiers Rouges d'Altdorf était chargé de défendre un char cabalistique, or un régiment de zombies pas plus nombreux qu'eux leur est tombé dessus, bien que le combat nous était largement favorable, nos soldats ont fuient dès le début... Le char était alors en danger, mais les acolytes du collège de magie ont préféré faire face aux ennemis et ont chargé les zombies, le choc du char a fait tombé bon nombre d'ennemis et après un long combat les zombies furent vaincus !
Quand les renforts était arrivés, le général Kriegfeuerman, comte suppléant de Talabheim, à rencontré et arrêté les Piquiers Rouges en fuite. Je lui ai expliqué ce qu'il s'était passé et il ordonna de tous les faire exécuter (ils étaient une vingtaine). Le Capitaine Wilhelm obéit au ordre avec beaucoup de mépris, il n'aimait pas cette façon de punir les hommes décourager de combattre, il en fusilla 5 pour exemple, et inscrit les autres en secret dans le régiment des lanciers de la Compagnie d'Honneur d'Altdorf pour faire croire à son général que ses fuyards étaient bien exécuté, pour que l’illusion soit parfaite, il leur donna un pot de peinture bleu pour repeindre leurs couleurs blanches. Ainsi le régiment des Piquiers Rouges de Talabheim fut supprimé, et la Compagnie d'Honneur d'Altdorf eu de nouvelles recrues   

Bon ben, vu qu'on est que deux dans la taverne on a bu les bières réservées à d'éventuels camarades  
Ça marche pas très fort cette discussion flood, v'ai ptet changer de sujet (et de lieu, le tavernier du Griffon Rouge demande la paye et j'ai pas assez d'argent pour payer toutes ces chopes ).
Bon je cours au Palais Impérial demander une partie de ma solde d'avance au trésorier de la Reiksguard et je vais au Gobelin Enrhumé. Si certain arrive avant moi, trouvez un sujet de discussion, n'importe lequel  

Plus tard...

Re !
Je suis le premier (ben tiens, peut être le dernier aussi   )
Le trésorier de la garde rechignait à me payer d'avance, j'ai dû lui promettre quelque chose pour... Cet homme me déplais au plus haut point, je l'aimerai pas en tant que supérieur   
Bon, nouveau sujet de conversation flood: Qui sont vos dirigeants d'armée et quels sont leurs traits de caractère !

Hallo la compagnie!

Permettez-moi de réagir à vos propos de tantôt sur les exécutions de déserteurs.

Au sein du bataillon Greif de Carroburg, digne force au service de la famille von Schauderberg, il existe deux manières de traiter avec les pourceaux ne rentabilisant pas la solde qui leur est attribuée en prenant leurs jambes à leur cou. Le choix de l'une ou l'autre dépend de l'humeur de l'officier disciplinaire de service et de la valeur passée du fuyard. Le bataillon étant entièrement armé et dirigé par Herr Lauter von Schauderberg, celui-ci bénéficie d'une gestion indépendante des autres armées de Carroburg.

La méthode la plus expéditive est la mort (lente ou rapide) et confiscation d'effets personnels à titre de compensation de l'investissement perdu, plus dommages et intérêts (la famille de la partie incriminée peut être impliquée).

La seconde méthode consiste à faire payer le lâche l'équivalent de ses trois derniers mois de solde, plus dommages et intérêts et expulsion de l'armée et des avantages associés (repas, logement, etc.). En cas d'impossibilité de payement (cas très probable), une solution alternative sera proposée : participation manuelle aux activités multiples de l'organisation partenaire "Die Schwarze Rose" (les rumeurs quant au caractère criminel de ses activités n'a pas été prouvé clairement par les autorités carroburger!) ou toute proposition d'affaires susceptibles de générer un profit significatif. La partie incriminée quittera l'armée, rejoindra "Die Schwarze Rose" et sera soumise à son fonctionnement (armement, prise en charge, participation à l'effort de guerre, rémunération, etc.).


Quant aux dirigeants de l'armée, les voici :
- Bien évidemment, il y a Herr Lauter von Schauderberg, héritier de la famille von Schauderberg, seconde en influence à Carroburg et rivale des von Bildhofen. Brillant entrepreneur, Herr Lauter a décuplé la fortune familiale au détriment de celle de ses concurrents, jusqu'à lever une armée entière : le bataillon Greif. Tout homme, du dernier des fantassins au premier des chevaliers, est considéré comme un investissement, censé se rentabiliser. Il est entraîné par son propre garde du corps et maître d'armes : Friedrich Karl Alwin Pockels.

- Mannfred "Bronzenfäusten" Geltran : Leader officiel de l'organisation partenaire à activités multiples "Die Schwarze Rose". C'est un homme cruel, impitoyable et loyal. Il a su contribuer à la hausse de popularité de la famille von Schauderberg dans les milieux défavorisés de Carroburg, ainsi qu'à son enrichissement via les activités variées et lucratives qu'il dirige. Sa tête est mise à prix par le capitaine de la garde de Carroburg pour supposition de crime organisé, trouble à l'ordre publique, commerce d'esclaves, commerce de biens interdits, exercice de contrebande, corruption, meurtres, organisation de jeux interdits, etc.

- Capitaine Herman von Delberz : Porteur de la Grande Bannière du bataillon, c'est un homme froid et taciturne, exercé à la guerre.

- Capitaine Karl Strass : Officier disciplinaire, il a su faire preuve d'inventivité pour faire respecter son autorité.

- Herr Kanter von Schauderberg : Cousin de Herr Lauter versé dans les études d’ingénierie, il contribue à la modernité de l'armée, malgré des investissements aux taux de rentabilité inégaux.

- Sankt Georg Fromm : Prêtre guerrier personnel de la famille von Schauderberg, il est caractérisé par son manque de ponctualité pour les cérémonies et ses bras puissants. Sa ferveur n'est tout te fois pas à mettre en doute.

- Felix Fihr : Mage de l'Ordre du Feu, ses conseils sont souvent ignorés tant l'implication d'incendies y est récurrente.

- Gaspar-Pollux Dunkel : Mage de l'Ordre de la Lumière, son humeur est fortement liée à sa perception du vent d'Hysh, elle est par conséquent imprévisible pour le commun des mortels.

- Rupert Himmelmann : Mage de l'Ordre des Cieux, conseiller de bataille et d'affaires de premier ordre, grâce à ses prédictions.

Fichtre un sujet avec du rp et du fluff je ne l'aurai pas vu ? Hérésie !

Je vais vous donnez mon point de vue en tant qu'officier de la chaîne de commandement, je ne suis qu'un simple capitaine mais j'ai quand même de nombreux hommes sous mes ordres. Si je surprend un de mes hommes s'enfuir ou se blessez de lui-même pour être ramenez chez lui, je le prend à part et discute avec lui. Si ces raisons me semblent "justifiées" il sera sévèrement punie. Si en revanche je ne trouve pas ces raisons suffisantes ou que sa lâcheté a causé la mort d'un autre soldat alors là je lui tire directement un balle dans la nuque. Nous sommes le Reikland, nous ne pouvons pas nous permettre trop de légèreté...

Ensuite la chaîne de commandement est variée, je vais décrire avec objectivité mes collègues et supérieurs !

L'archiduc Léopolod de Zahenoren : Notre général d'armée, c'est un noble donc il est assez prétentieux mais il reste courageux et compétent, il est un cousin de l'Empereur.

Le général Hans Vimler : Un homme que je respecte beaucoup, il vient du rang et il a sut atteindre ce rang uniquement par le travail et la bravoure.

Le commandant Henri Von Fortzen : Il est très jeune, c'est une jeune fougueux issue d'une grande famille noble, mais il est imbattable avec une épée.

Le capitaine Charles Brogen : Un très bon ami, il a une très grande prestance.

Le capitaine Frédéric Svern : Notre porteur de grand bannière, il est froid et taciturne mais sa dévotion à la province est indéniable.

Et enfin votre serviteur, moi-même le capitaine Stern Von Ritter : Je suis issue d'une petite noblesse mais je ne veux pas que cela m'ouvre des portes trop facilement, je pense être assez compétent.

Là je ne me suis permis de vous parlez que des militaires, nous travaillons souvent avec des sorciers, ou des hommes d'églises . Mais laissez moi me rafraîchir le gosier ! *Prend sa chope et bois franchement*

A croire que les hommes froids et taciturnes sont faits pour porter des drapeaux!

Je suis tout de même surpris de vous voir utiliser des armes à feu pour exécuter les déserteurs... Gâcher ainsi des munitions...
Le Capitaine Karl Strass pourrait vous conseiller des solutions moins coûteuses, quoi que parfois moins... propres. C'est amusant l'autre jour il m'a confié une nouvelle technique : "Ceux qui prennent leurs jambes à leur cou, m'a-t-il dit, en ce moment, je leur pends les jambes à leur cou!" Ahah! Quel boute en train, jamais avare de bons mots et autres calembours! Quoi qu'en y repensant, je me demande ce que ça donne réellement... Sûrement une figure de style! Un poète dans l'âme ce Capitaine Strass! Enfin, sa muse a sans doute une masse d'arme et du poil aux pattes comme attributs, plutôt qu'une plume et des cheveux d'or!

Quelle belle surprise, d'autres collègues du conseil ont lu mon affiche d'invitation (je croyais qu'elle s'était décrochée, où qu'un avis de recherche fut placarder par dessus   )
Soyez les bienvenus à ma table  


Concernant votre remarque sur les exécutions par les armes à feu, je trouve, de mon point de vu de chevalier, que c'est une arme pour des lâches et je ne vois aucun honneur à être tué par une telle arme, je déplore donc la méthode de mes confrères de la brigade de Talabheim, bien qu'il soit quand même honorable de leur part de s'occuper de les déserteurs. Ils nous disent que c'est un bon exercice pour les arquebusiers et que de toute façon un deserteur n'a plus d'honneur. enfin chacun sa culture  

De toute façon il y a très peu de désertion aux sein de la brigade, on est tous des réguliers et la majeur partie sont des volontaires et de vétérans, s'il y a déroute, c'est souvent justifié, nos supérieurs n'aiment pas perdre des hommes pour rien. S'il y a déroute inexpliqué, nos généraux se dénoncent mutuellement, justifiant que tel ou tel commandant a été négligent, s'est comporté de façon inapproprié ou a surestimé le moral de nos troupes contre un ennemi surnaturel...

Vous constatez qu'il y a beaucoup de personnalités différentes au sein de l'armée auquel je suis rattaché. J'ai été un peu trop confiant en lançant ce sujet, mais je vais faire de mon mieux pour vous dresser une liste claire et précise des personnalités de chaque homme important de la Brigade des Cités Unies du Middenstag.

Je vous informe de suite que la Brigade est une coalition permanente menant des campagnes en dehors de l'Empire pour défendre ses intérêts, elle est dirigés par les 3 comtes des 3 cités coalisées (Talabheim, Middenheim et Altdorf). Le siège de la Brigade se trouve dans le château du Middenstag (Middenland) abritant les Chevaliers Panthères du cercle intérieur dont le précédent précepteur (mort actuellement) était propriétaire (La coalition s'est formé après un conflit résultant d'une longue histoire d'héritage).




Armée de Middenheim:


Comte Boris Todbringer : Représentant suprême de l'armée de Middenheim au Middenstag, lui et les 2 autres comtes se réunissent tous les 6 mois dans la salle du conseil du Middenstag. Chef d'état habile et féroce combattant, il défend avec vigueur les intérêts de son état tout en restant loyal envers l'empereur. Mais depuis la mort de sa dernière épouse il a perdu l'envie de gouverner et ne prend des décisions qu'en présence de ses conseillers.

Capitaine Alfred de la Mass : Homme froid et taciturne (et non, ce n'est pas le porteur de ma grande bannière   ), il n’accepte aucune faiblesse de la part de ses soldats. Il est très pieux et fréquente aussi bien les temples d'Ulric que les églises de Sigmar, tant que sa prière est tourné vers un dieu de la guerre et de son pays, le reste lui est égal.




Armée de Talabheim:


Comte Napoleon Kriegfeuermann : Noble de Talabheim, il fait partie de la famille du comte électeur Helmut Feuerbach actuellement disparu. On dit qu'il est le portrait craché du comte électeur tant son caractère lui ressemble, ses ordres paraissent souvent capricieux, son humeur est massacrante et il ne supporte pas de recevoir des ordres. Il désigne comme ennemi et traitre quiconque remettant en cause son autorité. Il s'est hisser au grade de général en chef des armées de Talabheim et depuis qu'il a retrouvé le Croc runique de la province lors d'une expédition contre les hommes bêtes, il s'est autoproclamé Comte électeur suppléant du Talabecland.

Capitaine Wilhelm Kieffer: On dit que c'est l'officier qui comprend les soldats, toujours à leur écoute et essaye toujours de trouver le juste milieu entre le Commandant et le Camarade. Il rechigne à aller directement au contact de l'ennemi, il préfère les armes de tir et dans la mêlé les longues lances et hallebardes capable de pourfendre l'ennemi à une distance raisonnable. Il a une vison de la guerre propre et noble et les généraux doivent souvent lui faire rappeler les dures réalités de la guerre. Quand Kriegfeuermann commande l'armée de Talabheim, le Capitaine Wilhelm exécute la plupart de ses ordres capricieux avec beaucoup de réticence et ne manque pas d’ingénieusement pour limiter le dégâts de certains ordres insensée. S'il n'avait pas autant d'amis et d'influence au sein de la Brigade (aussi bien des officiers que des simples soldats) il aurait été depuis longtemps été limogé.




Armée d'Altdorf:


Comte et Empereur Karl Franz: Vous le connaissez tous bien, sûrement le plus grand homme d'état que l'empire ai connu   

Commandeur Alain Magnan: C'est moi, toujours près à charger pour l'empereur et à mener les chevaliers de la Reiksguard au combat. Si l'empereur n'est pas présent, c'est moi qui commande l'armée d'Altdorf avec Von Arkantos. Mon supérieur direct est le Reiksmarshall Helborg, mais depuis que je suis au Middenstag, je ne le vois plus trop et je reçois plutôt des ordres du palais impérial.

Capitaine Friederich Von Stark: Le plus bizarre des officiers, un faible d’esprit, il comprend toujours la moiter de ce qu'on lui demande et en plus il est très maladroit aussi bien dans ses gestes que dans ses paroles. Par contre, sur le champ de bataille, c'est une vraie machine à tuer, son impétuosité surprend parfois mais ses charges sont dévastatrices. Ses supérieurs ont pris ses actes pour du courage, moi j'appelle ça de la folie...





La garde du Middenstag


Commandeur Phillip Aldermann: Le nouveau précepteur des chevaliers panthère au Middenstag. Toujours prêt à accepter un duel, il est très loyal mais est assez pessimiste, toujours entrain de prévoir la défaite ou la pire des situations et, Sigmar merci, il a souvent tord.

Bonjour à vous frères commandants.

Voici mon avis sur les problèmes de désertion. Nous n'en avons pas dans notre fière garde impériale d'Altdorf ! (tout du moins personne n'est là pour en témoigner   ).
En effet mes hommes préfèrent mourir au combat que de salir leur honneur (d'autant plus que s'ils salissent leur honneur ils mourront quand même à un moment  ).
Certes certains récalcitrants se permettent d'effectuer des mouvements de replis stratégiques, mais les services du guet de la ville ou les camarades soldats ont tôt fait de les ramener dans le sein giron de mon corps militaires où ils seront pardonnés en intégrant des détachements de franches- compagnies. S'ils font preuve alors de prouesses martiales exceptionnelles ils auront le droit de revenir au sein de régiments de lignes spécialement formés pour les premiers contacts.
Je dois tout de même avouer que le taux de survie des franches-compagnies est de 10 % (ce qui est bien trop d'un point de vue financier ...), ce qui a pour avantage de régler définitivement beaucoup de problèmes.

Venons en maintenant à votre auguste orateur, Wylhem von Helstrum, descendant éloigné en droite ligne par alliance du premier grand théogoniste de l'histoire. Élevé dans la tradition militaire du Reikland, je met un point d'honneur à combattre au sein de mes hommes aussi bien qu'à dos de destrier.
J'entretiens d'étroites relations avec le Grand Théogoniste actuel et j'ai dans mon conseil miliaire un prêtre guerrier reconnu, Klaus Richter.

Klaus Richter : prêtre guerrier zélé mais non fanatique (l'idée de rédemption par les franches compagnies des déserteurs est de lui). Son charisme, ses talents martiaux et sa foi lui permettent régulièrement d'accomplir de haut faits et un régiment conduit par cet homme n'a jamais fuit un combat (/HS on : en 6 ans de partie je n'ai jamais fui avec mes hallebardiers et ce PG à moins d'être détruit \o/ /HS off)

Capitaine, Helmut von Gluck : notre porteur de grande bannière, personnage atypique qui semble guérir de toutes blessures même fatale pour le commun des mortels. Je le suspecte de faire partie d'une famille de sextuplés se jouant de moi sous la même identité.

Herbet Manheim : sorcier du collège flamboyant, ses capacités magiques m'ont été d'un grand secours en maintes occasions et je ne saurai imaginer une campagne militaire sans son appui.

Un régiment de renom est à présenter ici à juste titre. Les hallebardiers de la garde noire (rapport à leur armure), régiment d'élite et pilier de ma ligne de bataille souvent accompagné par Klaus Richter.

Je m'en vais maintenant me réhydrater car ma gorge s'assèche rapidement.  
Bonne journée à vous.

*enlève la mousse de sa barbe et sors une petite boite, trempe le doigt à l'intérieur et se cire les pointes de la moustache*

Après pour ce qui est de la désertion je ne mêle pas des chevaliers, sois disant qu'ils sont trop fières pour fuir, j'en ai déjà vu repartir très vite chez eux pourtant...Souvent dans nos batailles nous sommes rejoints par des membres du clergé de notre bon Sigmar.

Leopold Vanregen : Un prêtre guerrier, ma foi sympathique et bon vivant, mais il devient méconnaissable au combat, un formidable avatar de la puissance de Sigmar.

Richard d'Aldinger : Un répurgateur, il a la gâchette et le bûcher facile, j'espère au moins qu'il tue plus d'hérétiques que de pauvres paysans...

Ensuite il y a plusieurs sorciers, mais bon plus je me trouve loin d'eux mieux je me porte. Il y a aussi deux frères , des ingénieur, Rufus et Hans Barongen. Ils sont excentriques, toujours dans les pattes des artilleurs, mais bizarrement quand ils ne sont pas là les machines de guerres sont moins efficaces...Surement une coïncidence.

*continue de se cirer les moustaches*