Début d'un récit...

Et bien, tu écrit toujours aussi bien.

Domage qu'il n'y ai pas la suite, la prof a saisi ta feuille ?

Fait gaffe, c'est en 5° que j'ai commencer à ne rien faire en maths, tu peux pas vraiment ratrapper aprés...

Sauf si tu veux devenir écrivain...

Pour répondre à Bébénagash, je dirai que d'aprés ce que j'ai lu des romans bibliothéque interdite, les nobles impériaux se corrompent par vollupté, par vice et dans la débauche, ce qui explique qu'ils choisissent plus souvent le prince des plaisirs ou à la limite le seigneur de la pestilence (pour accéder à la vie immortelle). Dans les ordres de chevallerie cependant le dieu du sang est plus courant. Le prince du changement n'interesse pas les riches qui pensent qu'ils ne pourraient que s'appauvrir.

Emsagorounette a écrit:

La suite, écrite en maths ce matin même...

Je comprend mieux les infos ultra confidentielles sur ta carrière scolaire...

Bon bah là j'aime, je saisi pas tout mais on voit du tous pourri comme j'aime dans warhammer, c'est quand le prochain court de math?


Allez pour le débat sur les culte:
Tzeentch, est celui vers qui les gens qui veulent le pouvoir se tourne...les sorciers en mal de connaissance aussi...et les commerçant aussi...bah en fait presque tout les gens qui veulent une meilleur place dans la société...
En plus tu ose dénigrer tzeentch, la puissance qui engendra kasits...euh pardon, je ne citerai plus le nom de ce dieu noir ici...
Bon nos bons brettonniens ne se tourne pas spécialement vers le chaos mais comme le chaos n'est que l'expression extrême de sentiment humain, ils s'y tourne involontairement...d'ailleurs vous prenez du "plaisir" à "massacrer" votre adversaire à le "rendre malade" et à le "manipuler"...vers qui vous tournerez vous..

Euh bon emsagor, passe les amitié au prof de math qui t'inspire tant (doit vraiment pas être sympa pour que tu nous écrive des truc pareil!)
Bon texte bon truc et bon...heu truc..

Juste un début, pas le temps de faire plus!

Ludvan s’arrêta une seconde, s’appuya sur le chambranle de la porte et ferma les yeux. Oh, Dieu qu’il était las ! Dieu que tout ça l’ennuyait ! Il était un Inquisiteur Impérial, pas un arrogant nobliau Bretonnien ! Que faisait-il ici ? Il aurait dût être à Altdorf, à Nuln, à traquer le mutant et l’hérétique, et il vivait dans le vaste des Lyons d’Or ! Cela faisait très longtemps qu’il n’avait eu si honte. Il inspira longuement.

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Je suis Ludvan Von Kersher, Inquisiteur Impérial, de Nuln. Je suis le défenseur du pauvre et de l’opprimé, l’intraitable chasseur du mutant et du traître corrompu, le représentant de la véritable nation, si belle, si pure, tant admirable. Ma patrie ? Celle du marteau et de l’airain. L’Empire. La plus grande, la plus opulente, la plus puissante nation humaine de ce monde.
Et pourtant ! Où suis-je aujourd’hui ? Qui suis-je à présent ? J’étais un jeune homme léger entouré de jolies dames, et me voilà aujourd’hui à ourdir des complots et des vengeances pour contrer d’autres conspirations… Je suis un homme grave, méprisant, continuellement sur la qui-vive. Mon quotidien se limite à la salle de torture et à mon bureau, entendre les conspirateurs et les petits problèmes d’Yvan. Je n’en peux plus. J’étouffe.

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Il s’approcha du lit et se laissa tomber sur un fauteuil. Il soupira et rabattu son chapeau sur son visage. La pièce, sombre malgré le jour qui pointait, le plongea dans un profond abattement. Il tremblait légèrement, mais fut tiré de sa torpeur par un froissement de drap qui le fit sursauter. Il entendit un cri de surprise et une voix tremblante.

"Qui est là?! Par Sigmar, qui est là?!"

Il passa sa main dans les cheveux de la femme allongée là dans un signe d'apaisement.

"Tout va bien, Emmanuelle. Ce n'est que moi... "
"Oh,Dieu, Ludvan... vous m'avez fait peur. Que venez vous faire ici, il est bien tôt!"

Ludvan s'assit sur le lit. Il déposa son chapeau sur le fauteuil et serra Emmanuelle contre lui. Il passa sa main dans ses cheveux, qui sentait si bon les glaïeuls, cette audeur si fraîche, si douce, si agréable. Il recula une seconde, la fixa, puis l'attira contre lui.

"Vous n'avez rien à craindre de moi" lui murmura-t-il.

La suite...


Ludvan se raidit et se releva. Il s’appuya tout contre la balustrade, devant la vallée brune, dont les blés, couchés par les vents tumultueux, semblaient s’incliner respectueusement devant le maître du Comté. Le village, dominé par la falaise, était niché dans un creux du vallon, dont la terre fertile faisait abondement pousser les blés et les vignes, qui faisait la fierté des propriétaires. Si l’on empruntait la route du Nord, en sortant par la Porte des Pendus, l’on tombait obligatoirement sur la Cavée, l’épaisse forêt en forme de fond de tonneau, que la coutume disait repère de tous les coupes jarrets et autres pendards locaux.
Du haut de la falaise, des Lyons d’Or, Ludvan surplombait, depuis la vertigineuse balustrade de la tour Nord, tout l’ensemble de la vallée. C’était là qu’il se sentait tout puissant, c’était là que ses mains se crispaient de frustration. Tant de pouvoir, mais tant de contraintes. Il déglutit et fit le signe du marteau derrière son épaule. Il serra les dents, puis, de dépit, il prit son chapeau et le jeta par-dessus la falaise. Un gamin du village le retrouverait sûrement et viendrait lui rapporter pour une pièce. Ce n’était pas la première fois. Il donna un grand coup de pied contre le mur.

-Ludvan, par Sigmar ! Que faites-vous ?

Ludvan se retourna, et son air grave fit sursauter Emmanuelle. Sa voix était trop neutre, son air trop las, pour être naturel.

-Je réfléchis.

Elle se leva et le prit dans ses bras.

-Par Sigmar, Ludvan, je ne vous reconnais plus. Vous étiez un homme entouré d’amis et de femmes, et vous voilà sombre, enterré aux Lyons d’Or, à vous démolir dans votre lassitude, votre ennui, votre malheur, et votre soif de pouvoir.

Ludvan resta interloqué par cette dernière réplique, puis voulu dire quelque chose, mais Emmanuelle poursuivit, tout en reculant d’un pas :

-Car oui, Ludvan, vous êtes battit du même fer que moi, nous aimons tous deux le sentiment de la toute puissance, le picotement dans les mains de la frustration, le plaisir de détruire, la haine et le désir de voir l’Autre souffrir.

Elle posa sa main sur la poitrine de Ludvan, qui restait muet, et méfiant.

-Nous sommes tous deux d’airain, Ludvan. Ne t’enterre pas ici. Retourne à Nuln, ta vie t’attend là bas depuis que tu as fuit.

Il prit un air offusqué, mais ne se dégagea pas.

-Ne me tutoyez pas ! Et je n’ai pas fuit. Je suis partit car… Yvan m’avait mandé ici.

Elle soupira, voyant que Ludvan jouait son rôle à merveille. D’ailleurs, ce rôle l’ennuyait passablement. Elle détourna le regard et le fixa au sol.

-Ne joue pas avec moi de la sorte, Ludvan. Si tu ne me veux plus, il ne fallait pas me faire venir. A moins que ça n’ait été que pour tirer des informations d’Yvan.

Au comble de l’exaspération, Ludvan l’entoura de ses bras, et lui murmura quelques mots à l’oreille, qui la firent rire.

-Je t’aime, Ludvan.

Il eut un sourire sincère, le premier depuis un moment.

-Moi aussi, Emmanuelle.

Bien, tu continue toujours avec le même tallent !

Mais bon, c'est pas tout ça mais on attend la suite, nous !

A quand le prochain cours de maths ?

La suite est bien là,materielle et tout,juste, j'ai la flemme c'est fou!
Il faut que je la tape et tout,ça me prend la tête d'avance.....

Aller aujourd'hui je le finis ! Pour ceux qui trouverais ça baclé, que dire d'autre que "Désolée" ? Et merci à tous d'avoir suivit les récits un peu longs et pas très interessants de Ludvan Von Kersher

"Eudes, nom de Dieu, allez vous enfin m'avouer la vérité ?!

-J'en doute, Ludvan. Je ne sais que vous dire ! Et vous savez bien ! Je ne suis qu'un nobliau corrompu ! Tzeentch m'offrait le pouvoir et...

-Je n'y crois pas, le coupa sèchement Ludvan. Vous êtes trop malin pour tomber dans un piège pareille. Qui couvrez vous, Eudes ?

-Mais personne ! Je n'ai plus rien à perdre, pourquoi vous mentiré-je ? Vous m'avez humilié, torturé, emprisonné et maintenant vous souhaitez assurément me faire tuer. Et bien soit, tuez moi. Cela m'est bien égal, dans de pareilles conditions, vivre m'est insupportable.

-Mais oubliez un instant votre honneur, Eudes ! Et pensez à votre interêt ! Qui est donc cette personne pour laquelle vous êtes près à mourir ? Répondez moi ou je ferais executer tout le chateau pour en être plus sûr.

-Vous êtes monstrueux, Ludvan. Vous êtes pire que tout. Qui êtes vous pour prétendre gouverner sur mon comté ?! Qui êtes vous pour vous prétendre au dessus des lois de notre Royaume ?! Qui êtes vous pour ainsi décidé du sort de centaines de personnes ? Qui êtes vous pour décider de prendre le pouvoir de mon territoire ?! Qui êtes vous pour la Bretonnie, Ludvan ?! Qui êtes vous pour mon château ?! Qui êtes vous pour l'Empire ?! Vous n'êtes qu'un petit Noble impérial frustré par sa vie qui est venu trompé son ennui dans mes affaires ! Vous avez prit le pouvoir, soit, mais ne vous croyez pas tout-puissant, pauvre fou ! Je vous méprise, vous n'êtes que l'image de votre pays, mauvais et malsain, vous méritez plus que nous tous la mort, et vous le savez bien, et c'est parce que vous ne pouvez vous l'avouer que vous êtes ainsi. Alors "Monseigneur" je vous demanderais de quitter les Lyons d'Or avec votre maîtresse et votre épouse, car votre présence indispose le Roy de Bretonnie, et si vous ne souhaitez pas créer des tensions inutiles entre nos deux nations, il serait bon de vous y faire : vous n'êtes pas le bienvenue en nos terres, à compter de ce jour tout homme qui vous verrait or de vos frontières a pour ordre de vous abattre à vue. Vous pouvez disposer, partez, ne revenez plus, avant que je fasse venir les troupes royales, car le Roy sait que je ne suis pas corrompu, que ces livres que vous avez pu trouver ne sont que le fruit de recherches de ma part, et que vous êtes un salaud, Monseigneur Ludvan Von Kersher, vous êtes un salaud, et je vous méprise comme nul ne le peut autant. Dégagez. Oubliez la Bretonnie, et ne revenez plus, ou je demanderais au Roy de vous bannir et votre famille et vos proches avec vous."

Ludvan fit un pas en arrière, posa sa main sur la dague qu'il portait à sa ceinture, jeta un coup d'oeil à la salle. Alors son règne temporaire finissait. Alors il avait finit humilié, jeté dehors comme un paria, interdit de séjour en Bretonnie. Il s'était fait détruire en un instant par un hérétique. Mais à y réflechir, que faisait-il là ? Ce n'était pas son affaire que de prêcher la bonne parole en Bretonnie ! Tous l'avait insiter à partir avant qu'il ne soit trop tard. Aujourd'hui ses chances de fuites étaient réduites à néant, et il se voyait humilié et mis à la porte. Il aurait voulu rester, tuer Eudes et le Roy s'il le fallait, mais il était trop vide pour y songer. Alors il prit sa dague, et la jeta aux pieds d'Eudes, et sans lui adresser un regard, posa son chapeau et sa chevalière sur un buffet, fit le signe du marteau derrière son épaule, et sortit.

Où donc était passé le jeune Ludvan, celui qui séduisait les femmes les plus nobles et les plus riches de tout le pays? Celui qui l'avait remplacé était cynique et s'était fait écraser par quelques phrases d'un ancien seigneur corrompu. Il avait honte, mais il était un homme fier. Alors il alla chercher Emmanuelle, lui demanda de prendre ses affaires. Il ne souhaitait pas aller voir Amaryllis. Il avait trop honte. Honte de ce qu'il avait été avec elle, honte de l'avoir méprisée, de l'avoir accusée de vouloir causer sa perte, de le haïr. Il se rendait compte à présent qu'elle était surement celle qui tenait le plus à lui, et qui l'avait vu sans pouvoir faire quoi que ce soit, plonger, et qui allait le voir désormais détruit. Il refoula ses larmes en pensant à sa maison de Nuln, qui surplombait la ville, appuyée sur la butte, et de laquelle on pouvait voir l'eau du fleuve prendre une teinte orangée au crépuscule. Il devint nostalgique. Il devait oublier la Bretonnie, oublier cette intermède de deux ans, et songer de nouveau à son futur. Oublier son amour propre lorsqu'il rentrerait, inventer une histoire, oublier son métier auquel il tenait tant, toutes ses idées auxquelles il s'attachait pour justifier ses crimes. Il avait bouleversé toute l'administration d'un comté durant deux ans, il s'en rendait compte, et savait bien que même Sigmar ne l'en pardonnerait pas. Alors il changea d'avis, s'approcha de la fenêtre, souris faiblement, et puisqu'il n'avait plus que ça à faire, passa dans le vide.

Eheh il est mort le gars, il rejoindra mes rangs!!
j'aime bien la fin, il m'énervait ton héros, ça me semble presque logique en fait, un peu précipité sur les bannissement et tout mais j'aime bien, puis elle s'est faite attendre !!

J'avoue que je trouve ça un peu précipité sur la fin moi aussi mais qu'il meure le salaud !

Un inquisiteur de moins, un !

Et beh, me v'la surpris, j'aurais pas cru que ça se finirait si vite...

Après, j'ai noté une erreur qui m'a parue assez grosse :

Citation :

posa son chapeau et sa cavalière sur un buffet, fit le signe du marteau derrière son épaule, et sortit.

On ne dit pas une "cavalière" mais une "chevalière".

Enfin, c'est pas grave, merci d'avoir donné une suite et une fin à ton récit !

Sire Keldorn a écrit:

Après, j'ai noté une erreur qui m'a parue assez grosse :

Citation :

posa son chapeau et sa cavalière sur un buffet, fit le signe du marteau derrière son épaule, et sortit.

On ne dit pas une "cavalière" mais une "chevalière".

Ah oui, j'ai écris le truc en trente minutes alors je suis allé un peu rapidement, désolée de la faute, c'est arrangé :)

Aucun problème !

Pense-tu commencer un autre récit un jour ?

Je ne sais pas, c'est très certainement le problème du thème qui se pose.

Le problème c'est que je m'impose un thème, et après je free style à mort et je suis jamais super contente, je perds le fil, j'oublie des éléments,etc.