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 Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...

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Anton Ludenhof
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Anton Ludenhof
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 16:30

24e jour de Sigmarzeit.
Le coeur désormais léger, ainsi que celui de mes soldats en apprenant cette nouvelle, nous sommes allés faire régner l'ordre comme auparavant.
Les querelles entre Kraemer et Tabbeck ont céssées. Cela peut s'expliquer aisément, une lettre annonçant le décés de leur "femme de Wurtbad", suite à indigestion, les a unis dans leurs chagrins. Pendant des heures, ils ont pleurés ensemble. Puis, se reprenant, ils se réconcilièrent en découvrant les qualités de l'un et de l'autre. Je craignais le pire avec ces deux là, ce ne sont pas mes cinq ans de service dans l'Armée du Stirland m'ont apprises à manier une lame, pas des coeurs... Je compte toutefois faire des progrès !
Cependant, une fois que l'annonce de la mort de Biankheim se répandit, les villageois ne se contentèrent plus de nous éviter, ils nous ignoraient tout simplement, avec une manière dédaigneuse. Certains crachèrent sur quelques uns de mes hallebardiers, mais ceux-là goutèrent à la bastonnade... J'espère que les choses vont redevenir au plus vite comme avant en ce qui concerne les villageois...
Je reste toutefois très étonné de voir que notre aubergiste reste sympathique avec nous. Cela remonte un petit peu le moral de mes soldats, et c'est ce qui importe.

25e jour de Sigmarzeit.
Je ne pensais vraiment pas que la pluie serait si intense pendant si lontemps. Les égouts sont inondés, et on voit un peu partout des rats sortirent des eaux pour éviter la noyade. Le moral de mes hommes est au plus bas, et même le fait que je puisse leur accorder une heure avec les femmes leur a à peine fait sourire... Pire, j'ai vu des objets verdâtres tombés du ciel peu avant que je ne me mette à écrire mon rapport quotidien. Et quand je pense à cela, la Pierre Magique, celle que l'on trouve dans les légendes anciennes, n'est-ce pas cela ? Je crois que je commence à être fatiguer pour raconter de telles choses...
Mes hallebardiers ont assisté à ce spectacle inquiétant, Alric Jaeger est même venu me voir plus pâle que neige !
J'ai appliqué mes cours de troisième année, et j'ai pu rassurer mes soldats, en disant que si des manifestions magiques devaient se produire, nous aurions dû voir des sorciers dans la région. Or ce ne fut pas le cas, donc, ils me crurent et admirent que ce n'était pas une forme de magie.
J'espère de tout mon coeur que mes mains tremblantes ne les alerteront pas, et qu'ils ne s'appercevront pas de cette supercherie. Les sorciers ne sont pas tous des omniscients, même si je vais tout de même me forcer un peu à croire à mon propre mensonge...

26e jour de Sigmarzeit.
C'est le coeur lourd que j'écris mon rapport de ce soir...
Au milieu de l'après-midi, l'hallebardier du second groupe, Odric Tabbeck, vint m'avertir que son groupe s'était fait attaqué par quelques villageois à l'aspect lugubre.
J'ai ordonné à trois de mes soldats de rester ici pour assurer notre mission, répondant au nom de Madred Guth, Otto Herzog et Gisbert Geuber, pendant que moi et le reste de mon groupe, ainsi que le soldat du second, se dirigèrent entre entre Swartzhafen et Naubonum, sous une pluie incéssante.
Quand nous sommes arrivés, trois membres du groupe de Caspar Jutzenbach, se nommant Otto Geuber, Ehrwig Zumwald et Anton Konig, étaient à terre, suite à des blessures, sans aucun doute provoquées par les fourches de ces traîtres. Les autres membres du groupe de Jutzenbach étaient en train de combattre une dizaine de paysans armés de leurs instruments de travail. J'ai alors ordonné à mes hommes d'attaquer immédiatement. Comme ce n'était qu'un de vulgaires paysans déjà affaiblis par un mal inconnu, le combat ne dura pas plus de quelques minutes. Je saluerai l'adresse de mes soldats, notemment celle de Max Haintz, que je croyais un peu lent auparavant. Cependant, cinq de mes hommes furent blessés, Hans Rorhig, Nat Herz, Rudolf Baer, Odric Tabbeck et Rigo Baer. Une fois la situation rétablie, j'ai pris la décision d'ordonner à mes hommes de revenir à leurs postes.
C'est avec un grand soulagement que je revis entier les trois hallebardiers que j'avais laissé... Ils me firent leurs rapport, traitant de l'aide qu'ils avaient apportés à un chariot dont les roues s'enfonçaient dans la boue.

Je m'interroge de plus en plus sur la raison qui a bien pu pousser ces villageois à nous attaquer. Comme je l'ai écrit, ils semblaient souffrir d'un quelconque mal. En inspectant les corps, nous avons remarqué que des marques de morsures peu profondes sur la plupart à des endroits comme les bras et les jambes. Et maintenant que j'y pense... Ces morsures pourraient très bien provenir de ces affreux rats...

27e jour de Sigmarzeit.
C'est avec l'âme profondément attristée et angoissée que je vous écris, auxprés de mes derniers soldats...
Vous comprendrez en lisant ce qui suit...
Dés le lendemain matin, j'ai appris que deux des hommes du second groupe avaient été retrouvés avec une dague verdâtre dans la gorge. Ils se nommaient Albérich Herz et Gustaf Wirtz. Avec les hommes qui me restaient, j'ai décidé d'aller voir le sergent Jutzenbach, non loin du village de Naubonum.
De la marche, j'ordonna que l'on passe à la course. La situation devenait vraiment préoccupante...
Une fois réunis, j'ai ordonné que nous allâmes en direction du Bois des Goules, dans le but de retrouver nos camarades du troisième groupe. Nous supposions qu'une émeute était en cours, et ma stratégie fut donc de réunir le reste de mes hommes, au nombre de vingt-neuf, et de patrouiller ensemble pour mieux assurer la sécurité des habitants, mais également la nôtre.
Quand nous sommes arrivés à la lisière du Bois des Goules, aucun des membres du groupe d'Adelhof n'était visible. A force de crier leurs noms, nous entendîmes un appel à l'aide venant des profondeurs de ce bois maudit...
Arme à la main, nous avançâmes doucement, guidés par cette voix déséspérée.
Lorsque nous nous trouvâmes devant les corps sans vie de tous les membres du troisième groupe, pour certains, la tête avaient été tranchée, pour d'autres, ils furent retrouvés rongés jusqu'aux boyaux. Le reste de mes soldats furent pris d'une panique rare.
Elevant ma voix, j'ai pu remettre l'ordre en place, même si la plupart tremblaient encore...
Un couinement attira notre attention. Il venait d'un peu plus loin dans le bois.
Le regard emplie de haine, nous nous préparâmes à venger cet acte abominable ! Odric Tabbeck alla chercher notre étendard souillé, le dressant près de nous, en promettant à Kraemer de le venger.
Ce couinement en attira d'autres, et en quelques secondes, ce fut une trentaine de cris similaires que nous entendîmes autour de nous.
Soudain, une trentaine de...
Avant de continuer, je vous demande de me croire. Ce n'est pas par folie que j'écris ces mots, et ce n'est pas la tristesse qui déformerait la réalité...
Une trentaine de guerriers "hommes-rats" nous attaquèrent. Comme dans les délires des villageois, ces guerriers ressemblaient à des rats, en beaucoup plus grands, mais qui avaient la faculté d'être bipédes et de se servir des pattes antérieures comme bras et mains, pouvant ainsi manier épées et boucliers...
Hans Rorhig et Rigo Baer reçurent une dague dans le gorge, et s'éffondrèrent dans un gargouillement atroce.
Cela en fut trop pour mes soldats, et même pour moi...
Nous quittâmes cet endroit maudit et nous nous dirigeâmes à Swartzhafen par la force des armes, car ce n'était plus trente et quelques "hommes-rats" qui nous pourchassés, mais une soixantaine qui rejoignait une armée entière ! Dans cette terrible fuite, deux de mes hommes ont succombés. Swen Reiss s'effondra sous la masse des rats qui nous poursuivaient, alors qu'il fonçait tête baissée pour tenter de sauver une femme et son enfant, et Léopold Riese déceda en serrant sa gorge lorsqu'il respira un nuage verdâtre, lors d'une tentative pour couvrir notre fuite...
La ville de Swartzhafen était en flammes. C'était une attaque telle, que je me demande même si Leichberg y aurait résisté, malgrè les défenses formidables de la Ville-Rempart. Les rares bâtiments qui semblaient encore "intacts" étaient situés à l'Ouest de la ville. Comme le Bois des Goules se trouve à l'Est, nous avons dû traverser la ville entière, toujours suivis par ces ignobles hommes-rats.
Aucun des soldats de la ville ne furent visibles, et nous nous demandâmes s'il n'était pas déjà trop tard...
Ce qui nous effraya le plus, fut que la population était soit dévoré, soit emmené ailleurs, boulets et chaînes aux pieds... Certains villageois nous attaquèrent, perdant encore un homme, Otto Herzog, d'un coup de fronde ajusté. Nous supposâmes donc que quelques citadins avaient pactisé avec l'ennemi !
Enfin arrivé dans le quartier Ouest de la ville, nous entrâmes dans un grand immeuble fait de pierre, et non de bois comme les autres bâtiments.
Nous prîmes position, dans l'espoir de survivre. Fuir était impossible, nos assiégeants étaient bien trop nombreux, faute de quoi, nous dûmes espérer passer inaperçu.
J'avais encore sous mes ordres douze hommes, dont la plupart étaient de mon groupe. Certains étaient effrayés, les uns enragés à la perte de leurs proches, les autres essayaient de garder leurs sang-froid, comme Jutzenbach.
Pendant notre siège, de bien petite envergure, nous fûmes attaquer trois fois.

La première vague était menée par dix villageois armés comme ceux de la veille, autrement dit, de fourches et de coutres.
Reprenant courage, nous les pourfendâmes jusqu'au dernier au nom de Sigmar ! Nous perdîmes en retour encore deux soldats, Nat Herz, qui tenta une feinte avant d'être tué de dos et Gisbert Geuber, qui donna sa vie pour défendre son ami, le soldat Guth, qui pleura le sacrifice de son camarade.

Nous eûmes à peine le temps d'ameneger le rez de chaussée, en baricadant la porte et fenêtres, et en éparpillant du verre cassé sur le sol, que la seconde vague arriva.
Cette fois-ci, il ne fut question d'aucun humains, mais bien de guerriers hommes-rats. Ceux-ci étaient différents que ceux que nous avons affronté dans les rues, car ils étaient vêtus de noirs et maniaient des armes étranges, similaires à de longues griffes. Ces abominations étaient plus agiles que nous, et bien que nous resistâmes, trois d'entre nous tombèrent sous l'effet du poison verdâtre qui émanaient de leurs lames. Les noms de ceux qui donnèrent leurs vies sont Madred Guth, Rudolf Krebs et Boris Drauwulf. Je remercie encore Steiner d'avoir eu l'idée de mettre du verre brisée, je n'ose imaginer les pertes que nous aurions subi si nos adversaires avaient pu jouir de leurs mouvements normaux. Dès qu'ils furent tous vaincu, nous nous remettâmes à baricader l'immeuble. Je n'avais plus que sous mon commandement que cinq hommes...

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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 16:32

La troisième vague nous amena comme ennemi un monstre hideux, mélange de rat et d'ogre...
Mes soldats avaient le coeur rempli de haine et de rage, leurs visages se crispèrent, leurs veines étaient très voyantes et le sergent Jutzenbach eut la clarté d'esprit de remarquer que la bête était dirigé par un homme-rat armé d'un fouet, qui se cachait derrière sa créature. Esquivant les attaques maladroites du monstre, il arriva au niveau du "meneur" et lui transperça le corps de son épée.
N'étant plus guidé par son maître, l'horreur fit preuve de stupidité, à tel point qu'il resta à baver devant nous pendant quelques secondes. Lassé de ce spectacle, nous chargeâmes ensemble !
Comprenant enfin ce qui se passait, le monstre déchira avec ses griffes les corps de Rudolf Baer, de Tabbeck et d'Haintz... L'épée à deux mains en l'air, je fis un arc mortel vers le torse de la créature. Herzog et Lieff, de leurs hallebardes, terminèrent le travail. Josef Herzog s'empressa de récupérer notre bannière.
Après avoir re-baricader l'immeuble, nous décidâmes de monter à l'étage le plus haut...

Depuis, mes soldats essayent d'installer toute sortes de pièges, pendant que je vous rédige ce rapport. Si nous devons rejoindre le très Saint Sigmar, alors nous laisserons ce manuscrit en preuve de notre bravoure.
Jutzenbach vient de donner une idée intéréssante. Comme nous sommes obliger de rester ici, autant profiter de notre vue panoramique pour vous faire une description de nos ennemis.
Je n'ai jamais été aussi proche de mes soldats, et si les circonstances n'exigeaient pas de l'assurance en excés, je leurs aurai serré dans mes bras...

Ainsi, je vais essayer de vous décrire l'armée qui est en train de ravager Swartzhafen, que vous aurez sans doute à combattre prochainement :

Outre leurs aspects de rats, il est à noter que ces guerriers venus, sans aucun doute du sol, porte des vêtements dans les teintes vertes. Est-ce une sorte d'uniforme ? Je ne peux l'affirmer, mais au moins, vous saurez les reconnaître si mon rapport vous parvient.
Ils possèdent les mêmes caractéristiques que les rats que nous connaissons, c'est à dire, la rapidité, l'agilité, mais également la couardise.
Je peux estimer le nombre de ces hommes-rats à environ mille, mais rien n'est certain. Leurs effectifs sont constitués de ce qui suit :
-Des esclaves, de toutes races, même de la leur. Ainsi, nous pouvons voir des régiments d'humains, d'hommes rats et de gobelins parcourir les rues en quête de nourriture. Ce sont des combattants pittoresques, encore plus peureux que leurs maîtres, mais il ont deux avantages : ils peuvent susciter une quelconque pitié, vu leurs états (je parle au sujet de nos camarades) et surtout que leurs chefs les manient comme de la chair à canon, ainsi, ces esclaves peuvent retenir un régiment pendant qu'ils débordent ce même régiment de flanc. Nous ne pouvons en dire plus pour le moment...
-Des guerriers, cette fois-ci exclusivement de la race des hommes-rats. Ils sont équipés, pour la plupart, d'une épée, d'un bouclier mais aussi d'une armure de cuir ou d'un métal rouillée. Par conséquent, ils possèdent à peu près le même équipement que nos épéistes. Au contraire des esclaves, ils portent bannières et étendards au combat, leur donnant un peu plus de courage. Malheureusement pour nous, ils ne sont soumis à leurs couardises innées que s'ils sentent qu'ils sont en sous nombre, ce qui semblent délicat vu leurs effectifs. Ils constituent la majorité des troupes ennemis, et se déplacent par régiment de trente, ou plus...
-D'autres guerriers, mais bien différents des derniers, puisque ceux-là possèdent un matériel de loin supérieur. Ce qui est visible en second plan, c'est qu'ils ont une fourrure noire, alors que la grande masse de ces hommes rats ont une fourrure brune. Est-ce un signe de puissance ? Nous ne pouvons rien affirmer. Néanmoins, ce qui est sûr, c'est qu'ils manient deux types d'armement : soit celui de l'hallebarde, avec une dextérité que je ne connais que dans les régiments de Joueurs d'Epées, soit celui du maniement de l'épée et du bouclier. Ces guerriers à fourrure noire portent une armure robuste, mais tant rouillée qu'elles ne doivent pas égaler celles que nous faisons faire par les Nains. Ils se battent bien, et même moi je doute de mes capacités devant eux. En outre, j'ai vu des régiments amener avec eux des bannières crépitant d'une sombre énergie. Cette race manie donc également la magie... Cependant, ils sont aussi peureux que les autres membres de l'armée, sauf s'ils ressentent leur supériorité numérique, à la manière des autres guerriers. Josef Herzog vient de me faire remarquer que nous n'avons vu que deux régiments d'une vingtaine de ces hommes rats, ce qui me laisse croire qu'ils sont peu nombreux, en comparaison avec les autres unités de cette armée.
-Des hommes-rats furtifs, habillés de noirs et maniant des armes particulières, comme ceux de la seconde vague que nous avons affronté. Erman Steiner vient de me prouver qu'il existait plusieurs types de ces guerriers : des hommes rats en nombre, tout aussi furtifs, mais moins entrainés que leurs aînés; d'autres plus experimentés, mais moins nombreux, et enfin une sorte d'élite encore moins nombreuses, qui ressemblent fortement à des assassins. Leurs rôles est sans aucun doute de s'infiltrer derrière les lignes ennemies, pour saboter les machines qui les effraient tant (car si on part du principe qu'ils redoutent d'être en infériorité numérique, ils ont donc peur de toute arme pouvant causer des pertes nombreuses) ou alors pour tuer les meneurs des armées, semant ainsi le désordre.
-D'autres hommes-rats, mais ceux-là sont beaucoup plus inquiétants, arrivent à maîtriser des armes dévastatrices que même les ingénieurs de Nuln n'auraient pas idée de créer... Ce qui a emporté Léopold Riese est le résultat d'une de ces armes diaboliques : des globes dégageant une sorte de vent mortel, qui ont au moins l'avantage d'être visible, puisque le nuage est de couleur verdâtre. Lieff m'annonce à l'instant qu'il vient de voir un tir phénoménal faire effondrer l'immeuble situé au Nord de la ville. Vu le bruit que cela a provoqué, je ne peux me relever tant je suis pétrifié. Je lui fais entièrement confiance, et il m'affirme que ce fut comme une sorte de faisceau lumineux, toujours de la même couleur. Durant notre fuite, j'ai pu appercevoir deux machines étranges : une sorte d'arquebuse à répétition, maniée par deux hommes rats, qui tirait à une cadence inouïe, et une version portative du Canon à Flamme que j'ai pu voir dans la Citadelle naine de Zhufbar... Et toujours la même couleur de projectile ! Similaire à la chute de la nuit précédente ! Nous commençons à croire que c'est que la chute de ces choses vertes et lumineuses qui est l'une des raisons de l'assaut des hommes rats. Quoiqu'il en soit, ces armes sont certes meurtrières, mais, comme la magie par ailleurs, ne sont pas fiables. Ainsi, nombre des utilisateurs de ces armes meurent en les actionnant une fois de trop. Faible compensation si l'on en croit le potentiel destructeur de ces outils de destruction...
-Une autre variante de leur mode d'attaque, comme me le fait préciser Caspar, est la maîtrise des monstres qu'ils apportent au combat. Tout à l'heure, nous en avons affronter un, au prix de trois vies... D'autres parcourent les rues de la ville, enfonçant portes et portails, emportant femmes et enfants, toujours guidés par leurs maîtres au fouets accérés. Il existe un autre type de ces créatures, ceux-ci sont similaires à des chiens, mais tout en gardant les caractéristiques et la forme d'un rat. Bien que moins forts que leurs congénères "Ogres", ces "chiens" sont nombreux et leurs dents aiguisés comme des lames.
Ce qui a été mis en évidence durant la troisième vague, c'est que la perte de l'homme rat qui les mène entraîne leur perte : ces créatures ne sont plus capables de savoir ce qu'elles ont à faire. Ainsi, si vous venez à affronter de tels monstres, immitez l'action du brave sergent qui garde la porte à mes côtés.
-Leur quatrième méthode d'attaque consiste à faire appel à des fanatiques en toges sales. Des hommes rats puants, encore plus que leurs congenères (ce qui n'est pas peu dire), dont les corps sont recouverts de bubons, laissant échapper un liquide jaunâtre... Ils semblent être des fidels de ce qu'est annonciateur le rat : la peste. Ces sortes de "moines", car mes hommes et moi-même leur trouvons un aspect religieux, ne portent pas d'armure. Néanmoins, ils sont plus endurants que leurs frères. Nous venons de voir que l'un d'eux a reçu un coup de la part d'un des monstres gigantesques que j'ai décrit tout à l'heure, en l'encaissant parfaitement. Ils sont guidés par une folie qui les immunise contre toute peur. Comme ils portent le plus souvent une lame dans chaque main, il apparait qu'ils préfèrent le nombre d'attaques plutôt que leur efficacité. Deux types de "moines" rôdent dans les rues : ceux qui sont en régiment, sous des bannières déchirées et marchant au son de bruit de cloche, et ceux qui forment de petites unités mobiles maniant une sorte de fléau, d'où émane une fumée qui emporte par moment l'un d'eux. Ce doit être une arme similaire à celle qui dégage un vent mortel, mais je ne prendrai pas le risque de la tester...

C'est tout ce que nous pouvons dire sur cette armée...
Non, il a autre chose ! Je n'en crois pas mes yeux... Un immense char poussé par la multitude de guerriers avancent dans la ville ! En haut se trouve un homme rat à la fourrure grise maniant la magie. Ce sorcier est même capable d'invoquer des nuées de rats pour combattre à ses côtés ! De plus, sur ce char se trouve une cloche immense qui
Ce bruit
Le sonneur vient de donner un coup
Un autre
Je ressens une douleur affreuse à l'intérieur de mon crâne, provoquée par le son de cette terrible cloche, comme un hurlement qui résonne dans ma tête.


C'est tout ce que nous pouvons dire sur ces forces démoniaques. Je prie Son Excellence du Stirland de nous pardonner...

Cependant, tant que je pourrais écrire, je tenterais de vous aider dans votre lutte qui s'annonce. J'ai entendu parler d'un livre, lorsque j'étudiais à l'Inquisition de Wurtbad, écrit par un certain Wilhelm, venant d'Altdorf si je me souviens bien. Il décrivait avec précision ces hommes rats, et au lieu de le croire, nous avons brûler ces livres qui nous aurait pu nous permettre de lutter avec efficacité contre ces créatures. Je suis persuadé qu'il reste encore des exemplaires dans tout l'Empire, et je puis affirmer qu'ils vous seront utiles pour combattre cette horde...
Les chroniques naines doivent sans doute parler de ces êtres, et à la manière de ce Wilhelm, décrivent leurs modes d'attaques beaucoup mieux que moi. Là encore, je ne peux que vous conseiller d'aller quérir le droit de lire ces textes avec l'accord des Hauts-Rois.
Erman Steiner pense pouvoir dessiner les "têtes" de ces hommes rats, je lui laisse mon rapport pour pouvoir vous aider :
Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Ttedeskavenssr6.th
Comme mes hommes ne savent pas écrire, ou très peu, ils vont me dicter ce qu'ils auraient voulu dire à leurs familles...

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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 16:32

"Ma chère épouse, mes chers enfants, sachez que votre père sera tombé en combattant, et non pas en fuyant. Je sais que la situation sera difficile sans moi, c'est pourquoi je vais vous révéler où est-ce que j'ai gardé quelques économies au cas où il m'arriverait quelque chose : derrière la commode de ma chambre, vous trouverez un trou dans le mur, et dedans, se trouvera une vingtaine de couronnes d'or. Cela sera suffisant pour te permettre, Klara, de trouver un mari riche et protecteur. Mes enfants, gardez de moi une image d'un père aimant, parfois sévère et brutal, mais qui n'a voulu que votre bien. Je garderai comme souvenir de ma vie sur dans ce monde, notre promenade tous les six dans les bois, à proximité de Biberhof, par cette belle journée d'été. Je me souviens de Kurt pousuivant Hans, de ton sourire, Klara, d'Ingrid et de Wertha, cueillant des champignons pour le repas...
Même au prés de Sigmar et du Comte Martin, je vous garderai dans mon coeur pour toujours..."
Sergent Caspar Jutzenbach, membre du treizième régiment d'hallebardiers de Wurtbad, à Swartzhafen, le 27e jour de Sigmarzeit.

"Ma très chère Carlott, lorsque tu liras ces mots, je pense que j'aurais rejoins Morr... C'est le coeur lourd de chagrin que je t'écris encore une fois pour te dire à quel point je t'aime, et que j'aurais aimé avoir des enfants avec toi. Je n'ai rien d'autre à t'offrir que l'amour d'un défunt, et je sais ce qui va t'en coûter... C'est pour ça que je te demande de quitter Wurtbad au plus vite et d'aller rejoindre ton père à Schöllach, je suis persuadé qu'il saura prendre soin de toi. Gardes de moi l'image d'un homme sain, qui ne pensait qu'à ton bonheur. Manifestement, j'ai échoué... Je te demande pardon de tout mon âme !
N'oublies pas que je t'aime, je t'aime, et je t'aime !"
Soldat Josef Lieff, membre du treizième régiment d'hallebardiers de Wurtbad, à Swartzhafen, le 27e jour de Sigmarzeit.

"Père, si ce message vous parvient, sachez que j'aurais sans aucun doute rejoint l'autre monde. La raison de ce départ n'est autre que l'horreur du monde dans lequel nous vivons. Comme l'encre de ce message est bientôt vide, que notre temps est compté et que d'autres camarades souhaitent écrire leurs pensées, je vais essayer de faire bref. Tâchez de prendre soin de mon frère, Ludwig, en qui j'ai placé toute ma confiance. Que ma mort ne le dissuade pas de devenir un grand soldat de notre province ! Je suis fier de périr pour le Stirland, et je sais que c'est la mort la plus glorieuse que je ne pouvais esperer. Soyez heureux de m'avoir eu à vos côtés dans cette vie, nous nous retrouverons là-bas, pour nous raconter encore une fois la bataille de Leichberg face aux morts-vivants...
Mon père, mon frère, vous avez tout mon respect et tout mon amour..."
Soldat Erman Steiner, membre du treizième régiment d'hallebardiers de Wurtbad, à Swartzhafen, le 27e jour de Sigmarzeit.

"Ma chère mère, je ne crois pas que je serai de retour à Gablitz. Nous ne sommes plus que quatre de mon régiment, ainsi que le Capitaine von Oberwil. Tout te sera raconté dans ce rapport. Je te prie de nous croire, nous ne sommes pas des fous, nos ennemis sont bien réels ! Je doute vraiment de pouvoir te retrouver, tant les dangers sont grands. N'attends pas Otto, lui, a succombé avant moi à cause des serviteurs de ces êtres maléfiques. Il m'a toujours dit qu'il s'interdisait de partir pour que tu ne puisses endurer la douleur de sa perte... Et quand je pense que ce rapport a si peu de chances de te parvenir, alors que c'est le seul moyen que j'ai en ma possession pour t'exprimer tout mon amour, je me dis que notre monde est sale et que je comprends les flagellants ! La fiole d'encre est presque à sec, alors je me contenterai de te dire à quel point ma reconaissance envers toi est éternelle...
Ma très chère mère, sache que je t'aime de tout mon coeur, de tout mon coeur de soldat du Stirland..."
Soldat Joseff Herzog, membre du treizième régiment d'hallebardiers de Wurtbad, à Swartzhafen, le 27e jour de Sigmarzeit.

Pour ma part, j'ai la chance de ne plus avoir de famille pour pleurer ma mort. Mon seul regret, c'est que je ne pourrais pas venger mes hommes. Ces hommes, qui méritent les honneurs pour leur bravoure et leur courage !
Nous avons peut-être annoncé nos morts trop tôt, bien que je doute sérieusement que cela soit le cas. Cependant, nous allons tenter une sortie par la porte Ouest de Swartzhafen, pour sauver nos vies, et pour vous donner ce rapport en main propre, ou du moins, l'épargner des flammes.

Alors que nous nous apprêtons à descendre, c'est à l'unisson que nous crions : "Pour le Graf ! Pour l'Empereur ! Pour le Stirland ! Et pour l'Empire !"

Que Sigmar vous protège et que l'Armée du Stirland soit fière d'avoir eu des soldats tels que nous...

Wilhelm von Oberwil, Capitaine du treizième régiment d'hallebardiers de Wurtbad, à Swartzhafen, le 27e jour de Sigmarzeit.


Petite amélioration : c'est le treizième régiment, ce qui se rajoute à un autre treize dans le récit... Essayez de me le trouver Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Smiley_2

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Dernière édition par le Mer 14 Mar 2007 - 17:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 16:44

Super, j'espère qu'il y auras une suite, somptueux et je n'éxagère pas.
J'aime vraiment Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 3397943904
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 16:54

Boooon !
Ben, y'a plus qu'à corriger les fautes, et que Le Rat me passe tout ça en gothique Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Smiley_2
Et pis après, y'aurait le baptème du café Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 1428225354

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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 20:37

c'est mieux, bien qu'il soit assez long de tout relire, juste pour repérer certains détails. Le récit fait un peu plus militaire avec le rapport détaillé. Il y a une zone de flou quand ils trouvent les restes de leurs copains dans la forêt, on comprend pas trop comment ils s'échappent, on voit apparaitre une femme alors que les civils n'étaient pas mentionés avant, ils ne le seront pas plus ensuite. Ils arrivent étrangement dans un bâtiment, ils ne semblent plus être poursuivis à ce moment, bien qu'ils l'étaient avant. de plus, faut y arriver pour lâcher des skavens à la course. l'assaut contre eux n'est pas tellement soutenu, un rat ogre seul, c'est faible, surtout quand il y a une armée entière à disponibilité.
Bon, sinon, il y a quasiment aucun mystère dans ton histoire, puiqu'on sait presque immédiatement qu'ils vont affronter une invasion de skavens. je sais que c'est difficile de surprendre mais tu aurais pu nous faire croire qu'il y avait une autre menace: genre un culte du chaos secret....
bon pour le chiffre 13, j'ai vraiment la flemme de chercher, je laisse le boulot aux autres.
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 20:53

C'est très intéréssant!
Bon, je trouve que globalement, les gars conaissent trop bien les skavens; ils appelent les moines de la peste "moines" et les assassins "assassins", voient à peu près toutes les unités, ont même un aperçu des défaillances des machines, etc.
Le style ne convient pas parfois à un journal de bord, par exemple:

"L'épée à deux mains en l'air, je fis un arc mortel vers le torse de la créature."

Ca aurait plus sa place dans un combat "en actionb" que dans un journal de bord.
Enfin bon.

Citation :
Dès qu'ils furent tous vaincu, nous nous remettâmes à baricader l'immeuble. Je n'avais plus que sous mon commandement que cinq hommes...

Je ne suis pas sûr de la conjugaison de "remettâmes", mais bon, là je peux me planter. Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 1549146143
Et il y a un "que" en trop dans la seconde phrase.

Citation :
Nous avons peut-être annoncé nos morts trop tôt, bien que je doute sérieusement que cela soit le cas.

?
Ne soit pas le cas, plutôt, non?

Citation :
Alors que nous nous apprêtons à descendre, c'est à l'unisson que nous crions : "Pour le Graf ! Pour l'Empereur ! Pour le Stirland ! Et pour l'Empire !"

Que nous crirons?

Le Rat, tu auras tes points avec ça! Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Smiley_2


P.S.: quel coup de crayon, ce hallebardier!
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 21:36

Citation :
Ben, y'a plus qu'à corriger les fautes, et que Le Rat me passe tout ça en gothique
Sinon ,il existe un style d'écriture sur Word qui permet de faire genre que c'est écrit à la main.
"John Handy LET" ou "Monotype Corsiva" et le gothique "Blackletter686 BT"

Bon bin bonne chance.
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MessageSujet: Re: Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil...   Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Icon_minitimeMer 14 Mar 2007 - 22:32

Ok, ok, je vais encore un poffiner tout ça, suites à vos critiques !
Je vous remercierai jamais assez de me lire autant Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 Smiley1

Citation :
Sinon ,il existe un style d'écriture sur Word qui permet de faire genre que c'est écrit à la main.
"John Handy LET" ou "Monotype Corsiva" et le gothique "Blackletter686 BT"
Qu'est-ce que je voudrais avoir Word !!! Moi, j'ai une nullité qui se nomme Wordpad Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 2166037438

Citation :
Il y a une zone de flou quand ils trouvent les restes de leurs copains dans la forêt, on comprend pas trop comment ils s'échappent, on voit apparaitre une femme alors que les civils n'étaient pas mentionés avant, ils ne le seront pas plus ensuite. Ils arrivent étrangement dans un bâtiment, ils ne semblent plus être poursuivis à ce moment, bien qu'ils l'étaient avant.
Je rappelle que le Monsieur qui écrit tout ça est en train de vivre ses derniers instants : il peut largement sauter ces détails Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 1428225354

Citation :
de plus, faut y arriver pour lâcher des skavens à la course. l'assaut contre eux n'est pas tellement soutenu, un rat ogre seul, c'est faible, surtout quand il y a une armée entière à disponibilité.
Faut dire que ce ne sont qu'une dizaine de pecnos poursuivi par des régiments, alors dans les rues étroites de l'époque... De plus, ils ne représentent rien de plus que des civils, les skavens n'ont pas d'intérêt particulier à les tuer Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 3137123714

Citation :
mais tu aurais pu nous faire croire qu'il y avait une autre menace: genre un culte du chaos secret....
Ca marche ! Je vais m'en occuper !

Citation :
Bon, je trouve que globalement, les gars conaissent trop bien les skavens; ils appelent les moines de la peste "moines" et les assassins "assassins", voient à peu près toutes les unités, ont même un aperçu des défaillances des machines, etc.
Pour les noms, je vais changer ça. Mais je trouve normal qu'ils puissent voir tout les types d'unités, ils sont cinq et possède une vision panoramique. Vu la force de l'armée ennemie, il ne manque pas de troupes à regarder !

Citation :
"L'épée à deux mains en l'air, je fis un arc mortel vers le torse de la créature."

Ca aurait plus sa place dans un combat "en actionb" que dans un journal de bord
Le Capitaine essaye de se donner une image positive, pour se rassurer, pour les rassurer, et pour laisser une belle trace dans la mémoire de ceux qui liront le rapport...

Citation :
Ne soit pas le cas, plutôt, non?
'fectivement Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 880154551

Citation :
quel coup de crayon, ce hallebardier!
Capitaine, Capitaine, en plus noble alors Le rapport du Capitaine Wilhelm von Oberwil... - Page 2 2438927653

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