Voilà le fluff de (entre autre) mon armée.
Il est basé sur des données "véridiques" que le talabecland et sur une certaine dose d'interprétation et d'invention personelle;
La Garde Ottilienne du Talabecland
Organisation :
La Garde est une force d’élite entretenue par la province, servant à la fois de garde prétorienne aux descendants de l’Impératrice Ottilia (toujours considérée comme tel par les talabeclandais), de force de défense du palais et parfois de corps d’élite réquisitionné pour les campagnes plus importantes que la simple battue dans les terres environnantes, cela lui permettant de ne pas « moisir » dans ses casernes.
Elle est toujours dirigée par le capitaine de la Garde, le Graff (titre honorifique) Félix Katzbalger, Intendant du Palais et Maître de la Taalguard.
Sous son autorité se trouvent plusieurs capitaines et officiers ;
Les régiments sont ensuite organisés autour d’un champion, souvent un homme influent, ils sont donc tous assez spécifiques et recrutent souvent dans un milieu donné (de petite noblesse si possible).
Symbolique :
On l’appelle aussi la « garde lion » pour ses emblèmes ; les capitaines et champions portant généralement un heaume à cimier de lion.
Mais il est aussi représenté sur les insignes, les heaumes, les boucliers, souvent en compagnie du cerf (lui plutôt rencontré sur les étendards), animal typique du Talabecland et symbole de Taal.
Cette armée a pour seules couleurs le rouge et le jaune, le blanc à l’occasion rappelant discrètement son rôle de gardes de la capitale.
Armement et formations :
La Garde ne contient pas de troupes de miliciens ou de brigands comme on en rencontre dans les armées de pouilleux des autres provinces.
Les régiments d’archers et d’arbalétriers existent bel et bien (ces derniers étant souvent tiléens), mais ils font partie des troupes régulières.
Une petite bande menée par un répurgateur, voir une formation de fanatiques, est bien le maximum toléré, et encore, seulement quand la situation l’exige !
L’arquebuse est très souvent employé, dans de corps plus lourd que d’ordinaire, souvent portant armures légères et casques.
Plutôt que des lanciers, l’influence tiléenne ayant sévie, on trouve dans les corps de landskenets (défenseurs de la terre) des régiments de piquiers.
Les deux principaux sont la Garde du Palais en armure lourde, composée surtout de double-soldes aguerris entraînés au combat urbain portant le bouclier du lion, et la Garde-lion (redondance des noms ?) qui affectionne les casques à cimier de lion, pour montrer son appartenance à la noblesse, et combattant plus légèrement en campagne.
Inutile de préciser que ces deux troupes sont en perpétuelle concurrence.
On rencontre aussi des régiments plus classique d’hallebardiers et d’épéistes.
Régiments et troupes spéciaux :
-Les joueurs d’épée du Talabecland, tous des double-soldes, sont un corps moins disciplinés que leurs équivalents des autres provinces (et souvent moins protégés) qui combat généralement avec de grands espadons à deux mains au milieu des formations de piquiers.
Quand cela n’est pas possible ils se rassemblent dans une unité spéciale sous le commandement du Champion de justice locale.
-La Taalguard est plus étonnante ; c’est un ordre de chevalerie réduit formé sur le modèle de la Reiksguard pendant la période des trois empereurs.
Oubliée après cette sombre période, moins connue (et victorieuse) que son modèle, elle n’en demeure pas moins une petite force de chevalerie mi-lourde n’hésitant pas à combattre à pied et faisant grand usage des marteaux, masses et haches.
Elle porte des boucliers légers et des salades d’influence tiléenne, voir des heaumes plus imposants pour les officiers.
Son capitaine honorifique est le commandeur de l’armée, le Graff Kazbalger.
-Les ingénieurs sont rares, quoi que certain ont été vu dans cette armée, montés sur des chevaux mécaniques.
Les ingénieurs ont aussi réparés (plus ou moins !) un vieux tank à vapeur du Musée des Inventions Formidables de Talabheim.
Si il laisse à désirer, sa puissance et son efficacité psychologique en font une machine de guerre non négligeable.
Son aspect actuel se rapproche de celui d’un tas de fer couvert de peintures, de symboles macabres et d’étendards, écrasant ses ennemis ou les faisant périr cuit dans leurs armures par la puissance de la vapeur.
Anecdote cocasse, sept des huit ingénieurs à l’avoir conduits ont péris dans un sursaut imprévisible de la machine et le dernier tente actuellement (et désespérément) de négocier une tenue ignifugée à une guilde naine avant la prochaine bataille.
-L’artillerie est composée de pièces de différents calibres, souvent des canons de campagne légers ou des pièces servant à la défense du palais, plus imposantes.
Les Feu d’enfer sont utilisés raisonnablement et avec grande prudence.
-Les reîtres (pistolliers), reconnaissables à leurs écharpes blanches et leurs ceintures de velours rouge, sont une force mobile, souvent plus protégés que les équivalents des autres provinces (port du chapeau, mais semi-caparaçon parfois rencontrés).
Leurs tireurs d’élites, issus de la famille proche du graff (voir des ottiliens par alliance ou issues de germain) ne se font pas prier pour utiliser à merci les armes de la guilde des ingénieurs.
Leur principal signe distinctif reste l’élégante bourguignotte qu’ils affectionnent particulièrement.
-Les duellistes et épéistes forment de petites unités d’élite souvent employées dans le palais.
En campagne leur principal rôle est celui de détachement pour les carrés de piquiers et d’hallebardiers.
Ils préfèrent la rondache à l’écu, plus maniable dans les duels.
Influence :
L’influence Tiléenne est très présenté ; dans l’armure des cavaliers, dans les habits des capitaines, dans le pavois des arbalétriers, dans les casques et dans les pièces légères ;
Qu’ils soient nobliaux voulant être à la pointe de la technique ou mercenaires régularisés, ils constituent un des éléments principaux de reconnaissance de cette armée.
Aussi ne faut il point s’étonner de retrouver le motif de l’Onda (eaux de Verezzo ?) sur les pavois et boucliers des officiers.
Croyances :
Bien qu’adorateurs de Taal dans leur cœur (surtout la soldatesque), cette armée affiche à égalité son allégeance à Sigmar, nécessaire lors de ses combats dans d’autres provinces plus intransigeantes.
Le culte d’Ulric est aussi assez représenté, quoi que non officiellement dans l’armée.
Et voilà la fin de ce cours traité sur la puissante armée toujours prête à restaurer le trône Ottilien qu’est la Garde d’élite du Talabecland…
Le Rat, point final comme on dit.