[JdR du CI] C'est ici que ca se passe....

voyant le halfing sauter
"saloperie!!
je propose d'y aller comme des orque mème si je n'apprécie guère cela c'est encore le mieu a faire car non talent de nageur ne sont pas géniaux et avec l'autre qui vien d esauter la discrétion c'ets raté"

Hanz: et de une! :p
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Félix, en halfing courageux et déjà trempé, saute dans l'eau, et effectue un superbe plongeon....
Gromilbad, ralant dans sa barbe, insulte copieusement le nain et saute son tour, un peu moins gracieusement certes... Lemnuis et Alfred sautent à leur tour...

Par chance, les marins sur le bateau ne vous ont pas entendus, vos plongeons assourdis par la clameur montant de la ville, mais certaines personnes vous regardent bizarrement...


Devant vous, à une trentaine de mètres, se trouve un autre ponton. A votre gauche (le bateau derrière vous), l'entrée du port. A votre droite, à 50mètres environ, le quai et l'immense foule qui le parcourt... Mais un escalier descend jusque dans l'eau.
Près de cet escalier, une bouche d'égout d'où suinte un liquide peu engageant...

Brrr, l'eau ne s'est pas réchauffée depuis tout à l'heure, et ici croupissent en plus des têtes de poissons et des algues, sans parler des rats et autrs animeaux divers flottants dans chaque recoin.

"très bonne idée et vivement la terre ferme"
Gromilbad nage lui aussi vers le ponton

D'un air naturel et détaché, en sifflotant autant que le permet mon barbottage dans ce bouillon abject, je tente de nager vers le ponton.
Si j'y parviens j'y grimpe par l'escalier en enlevant les immondices qui souillent ma belle tunique, regardant les passants avec un air disant "vous n'avez jamais vu un halfling prendre un bain?".

Hanz: deux
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Vous nagez donc tous sans problèmes vers le ponton, et y montez sans difficultées...

Vous avancez ensuite tranquillement, comme si de rien n'y étais, jusqu'au quai... Les gens que vous croisez ont tous l'air misérable, loqueteux, affamés, où alors sont clairements étrangers: des Estaliens, des Tiléens, des Imperiaux et bien d'autres humains provenant d'un peu partout. Vous apercevez même quelques nains à l'aspect peu commode.... Pas de doues, vous êtes bien en Bretonnie, et vous voyez là une brillante démonstration des effets du servage. Vous pouvez toutefois apercevoir quelques marchands à la bedaine représentative de leur richesse, mais cela reste tout de même rare, relativement aux villes imperiales.

Soudain rententi un cri, qui couvre même un instant le vacarme. Vous tournant dans la direction de ce cri, vous apercevez un marin, l'air vaguement familier, qui vous fonce dessus, suivit de deux autres gaillards qui le talonnent...

En regardant d'un air affolé autour de vous, vous vous apercevez de plusieurs choses. Tout d'abord, vos adversaires ne sont qu' au nombre de trois, le reste de l'équipage, ou plutôt la cohue qu'il provoque en essayant de se frayer un passage, est encore relativement loin. Ensuite, vous apercevez une ruelle sur votre gauche (vous êtes face aux assaillants), un peu en retrait, et très peu fréquentée. Vous pouvez aussi voir que le quai continue encore longtemps, avec progressivement moins de foule au fur et à mesure que l'on s'éloigne des pontons principaux. Il y a aussi de nombreuses boutiques sur toute votre gauche: tavernes, boutiques d'ustentilles propres aux bateaux, tavernes, bordels et tavernes.

"Nos adversaires sont peu nombreux mais évitons d'attirer l'attention. Dirigeons nous vers la ruelle à gauche, puis neutralisons les à l'abris des regards. Ils ne faut pas qu'il rameutent l'équipage."

Prenant l'initiative je pars vers la ruelle. Sauf si mes compagnons me rappellent.

Tant pis pour l'arbalète, je me contenterais d'une baliste portative. LOL.
Désolé maisn j'avais plein de boulot et j'étais crévé, je n'ai donc pas put m'approcher de mon ordi.

Vous vous precipitez donc dans la ruelle sombre, vous faufilant à travers la foule.
Celle-ci devient de moins en moins dense, puis finit par disparaitre. Il y a encore quelques échoppes, de plus en plus délabrées, et guères avenantes, et puis plus que des facades délavées, des portes battantes et des volets hors de leur gonds. La ruelle se resserre peu à peu, et au fond, vous distinguez une porte qui à l'air en bon état, au dessus de laquelle est placée une lanterne rouge. Près de là, près d'un tas de carton, se disputent deux hommes. Vous n'entendez pas précisement ce qu'ils disent, mais ils ont l'air fachés l'un contre l'autre, et vous entendez plusieurs fois les mot "butin", "vol" et "fichus".

Vous entendez soudain un bruit derrière vous et voyez vos trois assaillants courir à en perdre haleine, chercheant à travers la foule, sans même un regard pour la petite ruelle, et disparaitre de votre vue. Heureusement qu'un tas de caisses vous dissimulait...



Mes deux nouveaux PJ, à vous! :p

Pour tout le monde: veuillez écrire le nom de votre perso et sa race en signature, je n'ai plus de place pour rajouter les deux nouveaux, et ca me semble bien utile...

J'attire les deux gaillards vers nous, dérrière les caisses et leur dit:
" On se calme les cocos, vous allez attirer les regards et l'attention, faut pas faire ça sinon on vous laisse tranquillement négocier avec la vingtaine de matelots armés qui patrouille dans le coin. Alors maintenant silence. En plus vous devez être du coin ? Si vous connaissez une auberge pas chère et où on éviterai de rencontrer des matelots déchainé, on vous suit. Au fait, avez vous de l'argent ? Parce que nous on est raide je crois."
Aprés avoir rudemment parlé aux deux hommes (si s'en sont) j'attend gentiment leur réaction dans l'espoir de ne pas avoir trop brusquer nos camarades. (c'était pas méchant, je voulais juste imaginer la geule d'un elfe grossier et beuglant comme un ogre, enfin, je crie pas)

Ledar se gratta le nez tout en jaugeant du regard les nouveaux arrivants.
La tête d'un rat sortit de sa poche et huma l'air avant de disparaître dans la tunique.
"Eh dis donc, les gars, faut se calmer. C'est pas nous qui sommes recherchés par ces types. Je vois pas du tout pourquoi je vous aiderai, j'en ai marre de m'associer avec des minables." Le voleur désigna son complice d'un mouvement de tête. " Surtout si votre bourse est vide, la notre est pas tellement remplie à cause des maladresses de "monsieur". Vous aurez peut-être sinon un moyen de paiement plus tard ? Il y a quelques banques impériales ou bretonniennes dans le coin. On peut aussi vous trouver une auberge discrète et un moyen de sortir discrétement de cette ville minable, on a pas l'intention de rester ici et vous pourrez toujours nous être utiles."
Ledar flairait un bon coup, le groupe était trop hétérogène pour être anodin et les complots intérressait toujours quelqu'un. Il pourrait revendre des infos à des agents bretonniens ou impériaux, ou des bourgeois pas trop honnêtes.

S'adressant a haute voix a Ledar
"-c'est gentil a toi "camarade", mais si tu n'avais pas fait tomber ce chandelier, nous serions surement riches a l'heure qu'il est.... "
puis dans un murmure pour son compagnon :
"-quoi qu'il en soit mieux vaut etre plus nombreux maintenant, parce que notre avenir n'est plus assuré apres cet echec cuisant, nous pourrions avoir besoin d'aide..."
Pieter se retourne vers l'elfe discourtois :
"-quand a toi "Coco" veille sur ton langage tu veux bien? il me semble que vous avez plus besoin de nous que le contraire; Ont vas vous aider, mais restez poli; ou je pense que ces fameux matelots ofriraient bien un petite recompense pour ta capture....quoique, vue ta carrure, je ne vois pas ton utilitée"
Puis parle a l'ensemble du groupe :
"-Je pense que nous pouvons vous aidez mais commencer a nous dire ce que vous voulez en premier, et qu'est-ce qu'on y gagnera a vous aider. On peut parler un peu, il faut bien que ça se calme dehors; venez dans ce coin, afin d'etre hors de vue de vos "poursuivant"; a oui, et d'ailleurs; pourquoi vous poursuivent-ils?"

"bah ils nous poursuivent parce qu'après c'être échappé de leur foutu bateau on a broyé quelque crane et me demander pas pourquoi on était dans leurs bateau je m'en souvient pas"

Merci pour ceux qui l'ont rajouté dans leur signature, faites le les autres, c'est pour votre bien (moi j'ai ma petite fiche, m'en fout...)
Et merci les deux nouveaux d'avoir été disponible immédiatement après avoir attendu si longtemps...

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Pendant que vous parliez, un marin vous a reperé, et voici maintenant un groupe d'une dizaine de personnes, menées par Hanns, qui s'avance vers vous... Ils sont onze précisement, constatez vous après avoir compté

"C'est bon, zetes cuits mes cocos, on va vous apprendre à nous faire courir com'ca pis après on vous donnera au cap'taine, et j'pense pas qu'vous allez passer un bon moment..."

Ils s'avancent vers vous, l'air menacant, sans aucune arme que leurs poings...



Vous pourriez tenter le coup de les affronter, à 11 marins costaud contre 6aventuriers, mais vous pourriez aussi vous échapper...
A quelques mètres, la rue se termine en cul de sac, avec un mur en briques imposant (impossible de passer par dessus), dont quelques briques ressortent.... La porte surmontée d'une lanterne rouge, sur un coté, et que des fenêtres aux volets fermés sur tout le long.
Des caisses, des tonneaux et des immondices jalonnent le reste de la ruelle, particulierement dans un coin, où elles semblent ne pas avoir été empilées au hasard... Les toits, quant à eux, sont assez bas (un peu moins de 3m environ).

Ledar se baisse et ramasse un sac caché par des immondices, il en sort des patates qu'il envoie aux membres du groupe.
-Allez les gars, c'est le moment de montrer ce que vous savez faire.
Une patate apparait dans sa manche tandis qu'il essaye de disparaitre par la porte du fond. Il sera prêt à utiliser ce passage si il arrive à rentrer pour attaquer les marins par derrière si la situation n'est pas trop dangeureuse, éventuellement envoyer des patates sur les agresseurs. sinon, il se cache en attendant la fin du conflit et poursuivra discrétement les marins si ceux-ci sont victorieux.