Le forum des joueurs de l'Empire à Warhammer Battle, 9e Âge et Age of Sigmar !
|
|
| La Menace du Stirland... | |
|
+12DarKStaR mitsuo Frere Sender Von Russel arckal Zacharus Hans von Fahnenbrazt Le Rat Heimmenrich Kurt Helborg Julien Anton Ludenhof 16 participants | |
Auteur | Message |
---|
Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 26 Nov 2006 - 14:44 | |
| - Citation :
- Euuuuhh.....franchement, c'est......superbe !!
Alors, ça... Ca me touche vraiment - Citation :
- Je pense trés sérieusement que ton récit est.....supérieur au mien...
Ca fait combien de temps que tu écrit ? Si tu voyais mes premiers réçits J'avoue que ce réçit est le meilleur que j'ai fait pour l'instant. Un mélange de fluff et d'action , de plus, je remercie X (je ne me souviens plus du nom) car il m'a inspiré pour la première attaque d'Anton C'est "demain" qu'ils partent pour Leichberg, dans le récit, il est environ 17h... _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Kurt Helborg Chevalier
Nombre de messages : 296 Age : 34 Localisation : chelles77 Date d'inscription : 21/10/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 26 Nov 2006 - 14:53 | |
| - Citation :
- Alors, ça... Ca me touche vraiment
Mais vraiment tu le mérite car ton récit est vraiment... - Citation :
- Ca fait combien de temps que tu écrit ?
Bah, je rédige ma prémière histoire.....avec quelques difficultés... - Citation :
- qu'ils partent pour Leichberg
Eh eh.....la grosse baston..... j'espère que swen et anton vont mourir.... | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 3 Déc 2006 - 13:13 | |
| Le Commandant Suprême des Forces du Stirland s'occupa de toute les formalités administratives, et ceci, jusqu'à ce que la nuit tomba. Il était dans son bureau, dans la caserne principale de la cité de Wurtbad. "Leichberg n'a pas répondu..." "Non, l'attaque n'a pu avoir lieu !" "J'aurais été alerté par les patrouilleurs..." "Et Meltburg ?!" "Où est-il ?!" Ainsi pensa Anton Ludenhof, assis devant son bureau. La salle n'était éclairée que par la lumière de Manslièb, et l'homme était plongé dans les ténèbres... Il aimait se réfugier dans l'obscurité. Il aimait remuer ses souvenirs dans l'ombre. Il aimait... Il aimait ces ténèbres. Et de cela, il ne pouvait l'expliquer.
-Et dire que c'est demain qu'on part ! Et je n'ai presque aucune nouvelle de Leichberg ! dit Anton.
Soudain, les ténèbres se firent plus intenses. Plus intenses... Plus intenses... Il perdit connaissance.
Il voyait sa famille. Sa famille dans les différentes pièces de son manoir. Sa femme, Klara, était dans la serre, s'occupant des plantes. Son fils, Karl, était dans sa chambre en train de jouer. Les domestiques allaient et venaient. Tout se passait normalement. Puis, un cor retentit au loin...
Une vingtaine de maraudeurs étaient à proximité du manoir. Voyant la beauté de la demeure, ils se remirent à courir. Courir pour voler. Courir pour piller. Courir pour tuer. Les serviteurs vérouillèrent la porte. Ils prirent les armes. Et amenèrent les femmes et l'enfant en lieu sûr. Les maraudeurs, se servant de leur hache comme des jouets, fracassèrent la porte. Un vieil homme hurla : -Défendez la demeure du Baron Ludenhof !
Le combat fut de courte durée. Ce n'était pas une dizaine de serviteurs, mal habitués au maniement des armes, qui pouvaient résister à la folie meurtrière des nordiques. Crachant sur les cadavres agonisants, les maraudeurs se séparèrent pour fouiller la maison.
Dans la cave, les femmes étaient appeurées. La panique régnait. Il n'y avait qu'une seule sortie pour la cave, mais elle donnait directement dans la demeure. Klara prit son fils dans ses bras et ensemble, prièrent Sigmar de leur venir en aide...
Les corps de sa famille...
Le cadavre de sa femme...
Son fils, terrorisé, caché dérrière des caisses...
Tout ceci se passa dans cette cave.
"Peu de temps avant, nous nous rencontrâmes, Anton Ludenhof...
-Monseigneur ? Allez vous bien ? demanda Swen Meltburg. Reprenant connaissance, Anton répondit : -Oui... Oui... Ce n'était qu'un léger malaise, répondit Anton. Se secouant la tête, il se leva. -Dites moi donc ce que vous avez fait ?! Je ne vous ai point vu depuis midi ! -Je vous prie de m'excuser. J'ai pu trouver le meneur de ces émeutiers. -Et ? -Eh bien, avec l'aide... de... Un homme sortit des ténèbres et enleva son chapeau. -Je suis l'Inquisiteur, Johann Meltburg. Anton abasourdi par la présence du répurgateur, prit toutefois la parole : -Quel plaisir de vous voir ! Vous avez aidé ce Capitaine ? demanda poliement Anton en s'inclinant devant la Sainte Inquisition. -Légérement. Il se dévrouille trés bien tout seul, répondit Johann. -Oui, bon... Capitaine, venez en aux faits, je vous prie, demanda le Ludenhof. -Eh bien... Il n'y aura pas de soulevements populaires, dit Swen en se redressant. -Bien... Trés bien... Je vous devais un couvert au restaurant "Le fleuve et la cité", c'est bien cela ? -Ma foi, nous devions nous y retrouver ce midi, répondit en souriant le jeune Meltburg. -Voudriez vous venir avec nous, Grand Inquisiteur ? demanda Anton. -Excusez moi. Je n'ai pas le temps. Il y a des hommes à arrêter dans cette cité, répondit froidement Johann. -Trés bien. Ais-je une chance de vous revoir ? -Je partirai avec vous. Je crois que mon experience sur ces êtres des ténèbres vous servira...
Johann sortit peu de temps aprés ses "collègues" de la caserne. Il marcha dans les rues de la cité. Le répurgateur se dirigea vers la place du Comte Martin.
Sur le chemin, il rencontra maintes personnes qu'il aura bien aimé enfermées. Prostitués, vieillards inquiétants, mendiants...
Wurtbad était comme les autres villes de l'Empire. Lorsque la nuit tombait, il valait mieux fermer les yeux pour dormir.
"Ou pour voir la lame d'un assassin..." pensa Johann.
Une fois là-bas, il s'approcha du cadavre de l'assassin. Il sentit son odeur... -Un membre de la Confrèrie des Roses Noires... Il l'avait reconnu à l'odeur de rose que ces hommes se parfumaient tout les matins pour se reconnaître entre eux. "Donc... La secte, ou peut-être les sectes cherchent à se débarasser d'Anton Ludenhof. Pourtant, la Confrèrie des Roses Noires n'est pas une secte chaotique. Ce sont juste des félés de Morr." Il se rapprocha de la statue du Comte Martin. Son grand manteau noir, assorti de son chapeau, lui donnait un air inquiétant. Les passants accéléraient en le voyant. Et en soit, oui, il était inquiétant. "Etrange... Les Fidels de Morr ne tolèrent pas la nécromancie. Or, Anton Ludenhof s'apprète à vaincre un puissant vampire... En quoi cet homme a pu enfreindre un des commandements de Morr ?!" _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Julien Capitaine
Nombre de messages : 348 Age : 41 Localisation : Chateau Reikguard (lyon) Date d'inscription : 27/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 12:49 | |
| Tu as eu une bonne idée de faire intervenir la confrérie de la Rose noire. Jamais j'y aurais pensé en lisant ton récit: chouette un complot de plus J'attend de voir le projet caché de ces membres. Je ne sais pas pourquoi mais dans le futur, les chevaliers de Morr vont intervenir à leur tour Ca sent bon l'atmosphere warhammer. | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 14:05 | |
| Les deux militaires sortirent du bureau du Commandant Suprême des Forces du Stirland. L'hiver imposait ses règles, et la nuit, Wurtbad était glaciale. Glaciale aussi, par ses dangers... Qui pouvait se cacher dans l'ombre ? Pour Anton, il ne faisait nul doute que lui en voulait... Au point d'engager un assasin... -Monseigneur, y allons nous à pied ? demanda Swen Meltburg. -Non, certainement pas. J'ai demandé à un de mes serviteurs de préparer un carosse... répondit Anton en souriant. -Je vous remercie de la soirée, je n'ai pas mangé à ce restaurant depuis des lustres ! dit Swen en montant les yeux. En cela, il remarqua que le ciel était particulièrement sombre... Mannslièb ne se voyait qu'à peine, tant elle était caché par des nuages noirs. -Eh bien, qu'y-at-il ? Vous avez l'air stupide à regarder ainsi les cieux ! Qu'est-ce qui... demanda Anton en regardant à son tour. -Vous avez vu ?! dit Swen en ouvrant grand les yeux. -Mauvais présage... Morr est en colère... -Cela est certainement dû à la menace de l'Est ! -En effet, ce vampire a sans doute dû éveillé la colère du Dieu des Morts...
Un carosse arriva devant eux. Il comprenait quatre chevaux d'une blancheur immaculée. Le carosse en lui-même était particulièrement somptueux. Le tout était dirigé par un cocher habillé d'une manière élégante, refletant parfaitement la beauté de l'ensemble. -Baron Ludenhof, nous pouvons y aller, dit le cocher. -Trés bien. Waldenmar, conduisez nous au restaurant "Le Fleuve et la Cité", et vite... répondit Anton en ouvrant la porte et en s'installant. Swen l'imita et admira le carosse, qui se mit en route. -Vous savez... C'est une excellente idée que votre frère nous accompagne, sur ce coup-là, Meltburg... dit Anton en regardant les bâtiments de Wurtbad qui défilaient devant lui. Les sombres fenêtres des immeubles donnaient une impression d'angoisse... -Oui, mais c'est lui qui a voulu nous accompagner. Ce n'est pas à moi que revient le mérite de sa venue... -Vous ètes bête, par moment, Meltburg... dit en soupirant Anton -Je vous demande pardon, demanda le Capitaine interloqué. Le Ludenhof se retourna et le fixa droit dans les yeux. -Je n'aurais jamais vérifier l'exactitude de vos dires ! -Excusez moi... Mais je ne vois pas le rapport entre... -Soyez un peu arriviste ! Certes pas trop, mais un peu d'ambition ne fait pas de mal ! Vendez vous au plus au prix ! Swen comprit alors ce que son supérieur tentait de lui faire comprendre... -J'ai compris, monseigneur. J'ai compris... -Parfait !
Le reste du voyage se déroula en silence. Swen craignait d'être le responsable de celui-ci... "Me repprocher d'être honnête ? Non... Pas honnête. Il me disait juste que j'aurais dû en profiter pour me valoriser..."
-Meseigneurs, vous ètes arrivés, dit le cocher. -Trés bien. Revenez plus tard... dit Anton en sortant. -C'est que je... La porte se referma. -Je vous conseille de faire des tours chaque quart d'heure, dit Swen en souriant. -Oui... Il ne me reste plus que cela à faire...
-Alors Meltburg ! Vous traînez ! -Excusez moi... C'est donc ici ? -Absolument, regardez en la pancarte... dit Anton en retrouvant le sourire. Sur la pancarte, on pouvait admirer une magnifique cité protégée par un beau et large fleuve.
Les deux militaires entrèrent.
-Meseigneurs ! cria une petite voix. -Aaaah, Max ! répondit Anton. Un halefing apparut du dessous d'une table et les accueilla chaleureusement. -Cela me fait bien plaisir de vous revoir ! Un peu comme lorsque que mon cousin Théo, cousin au troisième degré de ma mère, me rendit visite... A ne pas confondre avec mon autre cousin Théo, qui lui est cousin au second degré du côté de mon père ! -Euh... dit Swen, ne sachant pas comment réagir face à un tel enthousiasme. -Je suppose que vous venez pour déguster ? demanda Max. -Absolument ! dit en riant Anton. -Suivez moi alors ! Je vais de ce pas vous réserver notre meilleur table ! Que ça me fait plaisir de vous voir ! Théo, hein, le cousin au troisième degré du côté de ma mère, lui était beaucoup moins important... -Parce que Théo, votre cousin au second degré du côté de votre père, l'était ? demanda Swen en souriant. -Oooh, certainement pas ! Lui, ce n'est qu'un sale cochon ! A force de rester fermier, il est devenu comme ses bêtes ! répondit en ronchonnant le hobbit. -Vous vous débrouillez trés bien, Meltburg... chuchota Anton. -Et voilà ! Votre table ! Vous avez une magnifique vue sur le Stir ! Dommage que cette nuit soit si sombre... répondit le halefing en souriant. Les deux militaires s'installèrent. -Votre plat habituel, Commandant Suprême des Forces du Stirland ? demanda poliment le petit bonhomme. -Un rôti de boeuf, assorti de pommes de terres, le tout asaissonné de votre sauce ? répondit en souriant Anton. -C'est bien cela ! Et j'ai perfectionné cette sauce ! -Alors, deux ! dit Swen. -Meseigneurs, sur la vie de Thomas, mon troisième frère, qui d'ailleurs travaillent dans les cuisines de l'armée, je jure que vous serez servi dans moins de trente minutes ! Et le hobbti partit...
-Ils sont si amicaux... dit Meltburg. -Oui, loin de la cour du Comte-Electeur... -Comment ça ? -Vous n'ètes pas au courant ? -De quoi donc ? -Il y a quelques mois un grand incendie dans la bibliothèque a brulé les documents signés de la main de l'Empereur Ludwig le Gros. -Oui, de cela, j'en ai entendu parler, répondit Swen. -Et voyez vous... Ces documents étaient la preuve formelle que l'Empereur avait donné une partie du Stirland aux halefings... Cela veut dire que la polémique sur leur présence est repartie de plus belle ! -Oooh, je comprends... Et vous, quelle est votre position ? demanda le Capitaine. -Eh bien... Personnellement, je n'ai rien contre cette race, certes, inférieur à celle de l'homme, comme vous en conviendrez, non ? demanda Anton. -Oui, euh, absolument ! dit Swen, n'étant pas tranquille. -Ils se sont trés bien insérés dans notre société. J'ai moi-même un cuisinier du Mootland ! Ce n'est pas leur faute... Mais j'en veux à cet Empereur ! Ce n'est pas parce que sa demande en mariage avait été refusée par la Comtesse du Stirland, que le peuple devait perdre ces terres ! Terres si fertiles...
Peu de temps aprés, le halefing revint les bras chargés de plats. -Je vous ai rajouté quelques plats, offerts par la maison !
Le repas se déroula parfaitement bien... Mais, en voyant l'heure tardive, et la tâche que les deux hommes avaient à accomplir le lendemain, les deux militaires n'eurent d'autre choix que de se presser. Deux heures plus tard, ils sortirent du restaurant. -Revenez quand vous le voudrez ! Et comme disait mon grand-père, Hugo, fils de mon arrière grand-père, Paul, et de mon arrière grand-mère, Agnès, "Dans la maison du bonheur, la plus belle pièce, est la salle d'attente !" -A bientôt, Max ! Je reviendrez, soyez en certain ! Et prouvez moi que cette sauce peut encore être améliorée ! répondit Anton en riant. -Je n'y manquerais pas ! Aurevoir ! -Aurevoir ! répondit Swen. -A bientôt, Max... La porte se referma, et les deux furent replongés dans le froid de Wurtbad...
-Tiens, de la fumée ? dit Swen. -En effet, et elle vient du bout de la rue, là-bas ! Un lourd nuage de fumée s'échappait de la cité. Cette fumée était si noire, qu'il était possible de la dissocié des nuages, qui pourtant était trés sombres...
Arrivés dans la rue, Anton s'appercut que le feu n'était autre qu'un bûcher... -Bonsoir, Commandant Suprême des Forces du Stirland... répondit une voix grave. -Bonsoir, monseigneur de l'Inquisition ! Qu'est-ce donc ce bûcher ? Encore des hérétiques ?! -Non, non... C'est juste un autodafé... -Ah, ce n'est que ça, dit Swen. -Eh bien cela tombe trés bien ! Mes mains sont glacées, vous venez ? dit Anton.
Les trois mirent les mains devant les flammes purificatrices, et parlèrent du lendemain... Swen remarqua que ces livres étaient des écrits à la couverture trés sombre... Sur un d'eux, on pouvait lire "Les horreurs de l'Empire..." Le Capitaine se rétracta, et se contenta de réchauffer ses mains...
Voilà une petite suite ! _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
Dernière édition par le Dim 10 Déc 2006 - 22:55, édité 1 fois | |
| | | Kurt Helborg Chevalier
Nombre de messages : 296 Age : 34 Localisation : chelles77 Date d'inscription : 21/10/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 21:43 | |
| On avance bien dans l'histoire !! La rose noire rajoute un petit plus qui fait dire que la suite sera trés trés plaisante.....en tous cas bravo car tu a un vrai talent pour mettre en place une enigme qui tient en haleine le lecteur...et l'oblige en quelque sorte à lire la suite... Maintenant les remarques - Citation :
- Un carosse arriva devant eux. Il comprenait quatre chevaux d'une blancheur immaculée. Le carosse en lui-même était particulièrement somptueux. Le tout était dirigé par un cocher habillé d'une manière élégante, refletant parfaitement la beauté de l'ensemble.
Ta description du carosse est trés bien...peut être que tu vas un peut loin avec les chevaux d'une blancheur...mais bon tu es stirlandais, je comprend ta jalousie envers les chevaux hochlandais...! Le Halfeling !!! C'est se qui manqué a un récit stirlandais, le voici le voila !! Pareil, son attitude est bien retransmise....blablabla, manger, blabla, manger...BRAVO !! Sinon bah toujours pareil quoi, on commence et pas moyen de s'arrêter !! La suite et vite vite la rencontre avec le vampire !! PS: il brûle des livres a Wurtbad ?....normal save pas lire !!! | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 22:00 | |
| JE LE SAVAIS !! Je le savais que vous alliez aimé le Halefing, avec le coup de ses cousins et de son grand-père ! Eh franchement, je dois vous dire un truc : Je n'avais jamais prévu de faire rentrer cette secte en jeu ! Les mots sont sortis tout seul ! Mais bon, je vais pas m'arrèter là , je continue sur cette énigme, et je la découvrirais avec vous ! Trop de choses m'apparaissent en écrivant, pareil lorsque j'ai parlé du ciel trop sombre ! Ce récit me plait énormément ! Les personnages ont enfin leur caractères, je contrôle presque plus rien Pour l'autodafé, ça, je l'avais prévu en cours de Français (je bosse sur les Lumières). On en parle pas, mais à cette époque, c'était hyper courant ! De plus, en allant se réchauffer, ça montre l'approbation d'Anton Ludenhof (pas moi ) dans ce genre de pratiques... J'ai enfin ce que je voulais : un récit intriguant, avec plein de background ! Anton, super content, et plus motivé que jamais à écrire ! P.S : Le repas chez le Halefing a toujours été un épisode durant les récits d'Anton Ludenhof... (mouais, pas quand je parle d'Elfes de Sang ou de skavens ) _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Le Rat Grand Maître
Nombre de messages : 699 Age : 33 Localisation : Sud, vers Nîmes Date d'inscription : 02/05/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 22:28 | |
| - Citation :
- Dans la maison du bonheur, la plus belle pière, est la salle d'attente
? - Citation :
- hobbti
Ce serait "hobbit", mais attention, ce sont des halflings! J'adore, vraiment, le côté mystérieux renforcé par la simple lecture du titre du livre, c'est très bien vu, un peu "Lovecraftien". Le halfling est parfait, bien calé dans son coin de fluff. Le Rat, adorateur des demi-portions à pieds velus. | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 10 Déc 2006 - 23:33 | |
| Bon... C'est "pièce" ==> faute de frappe : _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Hans von Fahnenbrazt Grand Maître
Nombre de messages : 654 Age : 30 Localisation : Au bord de l'océan d'un bleu réveur (bon, paris ne me réussi pas) Date d'inscription : 22/09/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Lun 11 Déc 2006 - 23:07 | |
| J'adore le coup du hobbit, ça fait vraiment penser à Bilbo Sacquet dans "Lord of The Rings". - Citation :
- un peu "Lovecraftien"
enfin un bon scout. -Compagnie au rapport -Bin les hobbits y ont mangé tout les raviolis Chef!! | |
| | | Le Rat Grand Maître
Nombre de messages : 699 Age : 33 Localisation : Sud, vers Nîmes Date d'inscription : 02/05/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Lun 11 Déc 2006 - 23:21 | |
| - Citation :
- enfin un bon scout.
Tu connais aussi? Oui en effet, ça rappelle énormément les hobbits. Rappelons que l'appelation halfling n'est qu'une affaire de copyrights, assumée par GW. Le Rat, miam miam... Esmeralda cult. | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 15:15 | |
| Les trois hommes continuèrent à parler devant les flammes purificatrices pendant une dizaine de minutes. Swen ne sentait pas tranquille, les deux hommes à ses côtés ne semblaient pas se rendre compte à quel point le ciel était sombre. -Bien, je pense qu'il est temps pour moi de rentrer, dit Anton en souriant. Je vous salue, Inquisiteur... -Passez une bonne soirée, Commandant Suprême des Forces du Stirland ! dit Swen en saluant son supérieur. -Que Sigmar vous garde !
Anton prit Swen à part et lui dit : -Je vous veux demain, vers midi, prés de la place du Comte Martin... -A vos ordres, monseigneur...
Anton Ludenhof s'en alla vers le restaurant. Là-bas, il y vit son carosse. -Monsieur le Baron a passé une bonne soirée ? demanda Waldenmar, qui avait de lourdes cernes. -En effet. Allez, ramenez moi à Biberhof ! Et en vitesse...
Le magnifique attelage se mit en route, et s'engouffra dans les ténèbres... La seule preuve de sa présence était deux petites lanternes prés du cocher.
Le domaine de Biberhof avait été acheté par les ancêtres d'Anton. Dés lors, la famille Ludenhof devint les seigneurs de cette petite terre. Ce n'était pas un trés grand territoire, une simple baronnie, mais ses champs lui assuraient une récolte plus que satisfaisante. Il avait sous son contrôle pas moins d'une centaine de paysans, qui globalement, tous le respectaient. Et puis, les manquements aux règles étaient sévèrement punis... Quand Anton s'absentait, c'était le precepteur de Karl qui dirigeait le domaine, Valmir Hoftreheim. Le carosse sortit Anton repensa à la soirée. Le jeune Meltburg manquait d'experience, mais il allait devenir avec le temps un excellent commandant. Il regarda les cieux, et fut étonné de voir qu'ils étaient encore plus sombres... "Des cieux si sombres... C'est de la magie ! Von Carstein est de..." Trois hurlement de loup retentirent... Anton se retourna et ses yeux confirmèrent ses oreilles. -Oh... Waldenmar ! Dépêchez vous ! -Je fais de mon mieux monseigneur... Les chevaux accélerèrent. Les loups également.
"C'est ce bâtard de vampire qui les a envoyé ! S'il croie pouvoir m'avoir aussi facilement !" Le Commandant Suprême brisa la vitre arrière d'un coup de coude. Il chargea son pistolet à répétition et visa. Les loups se mélaient aux ténèbres, et seuls leurs yeux étaient clairement visible. Deux points rouges noyés dans une obscurité quasi-totale... Les créatures hurlèrent de nouveau et accélerèrent... "Allez, vise bien..." pensa Anton Il tira. La balle toucha. Une des créatures tomba. -Bien vu, Baron ! -Contentez vous de manier les chevaux ! "Merci infiniment, Archilecteur de m'avoir donné ces balles d'argent !"
Ce succés ne parvint pas à ralentir les deux autres monstres. Il fallait faire vite... -Baberhof est devant monseigneur ! Nous y serons dans peu de temps ! -Bon... Je vais pas laisser deux horreurs entrer chez moi ! Votre pistolet ! -Tenez... dit le cocher en envoyant maladroitement le pistolet dans le compartiment.
Anton rechargea les deux pistolets aussi vite qu'il put. Au-dessus de lui, il entendit un bruit sourd. -Oh non... Crève ! dit Anton en tirant dans le toit de son carosse. Un hurlement se fit entendre, mais la créature était encore "en vie", et commença à déchiqueter le toit du carosse... -Waldenmar, dites moi que vous avez garder mon épée ! -C'est que... Elle est... Est... dit le cocher appeuré. -Où ?! -La... Malle... -La malle ?! Imbécile ! C'est pratique une épée dans une... Le loup arriva dans le compartiment et se jeta sur Anton. Celui-ci eut le reflexe de lui donner un grand coup avec ses deux pieds en pleine gueule. La bête était sonné. Anton sortit une petite dague de sa veste et la planta dans la chair morte de l'abomination. Un gargouillis immonde sortit du monstre...
-Bon, et l'autre ? demanda Anton à Waldenmar. -Je ne... Sais pas... Je ne le vois pas... Un nuage noir vint aux côtés d'Anton. -Qu'est-ce que... dit le Commandant Suprême en voyant ce nuage prés de lui. Le nuage commença à se dissiper... Au bout de quelques secondes, un vampire à la blancheur cadavérique apparut. -Bien le bonsoir, Baron Ludenhof... Anton, interloqué par cet intrus ne put répondre. -Je ne compte pas vous faire de mal. Je viens de la part de Gustav Von Carstein vous porter un message : "Restez à Wurtbad si vous tenez à survivre"... -C'est pour cela que vous ètes venu ? demanda Anton en reprenant courage. -Absolument. -C'est grotesque ! -Vous ètes libre de ne pas tenir compte des propos de mon Maître... -Encore heureux ! Vous lui direz que je me fiche totalement de ces propos, et que je le combattrai à Leicheberg, s'il a le courage de se montrer... -Pour cela, il vous faudra survivre à votre traversée du Stirland... Et le vampire redevint un nuage noir, qui quitta le carosse en direction de l'est. Peu de temps aprés, le nuage devint un loup...
-Nous sommes arrivés, monseigneur... dit Waldenmar. -La prochaine fois, mettez mon épée ailleurs que dans la malle ! Comment aurais-je pu m'en servir ?! La malle est à l'extérieur du compartiment ! _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
Dernière édition par le Mar 19 Déc 2006 - 16:45, édité 2 fois | |
| | | Zacharus Chevalier
Nombre de messages : 271 Age : 35 Localisation : le Nord gris et glacial Date d'inscription : 23/11/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 17:40 | |
| -passer une bonne soirée "passez" -interloqué de cet intrus "par" cet intrus -si le vampire est juste venu porter un message pourquoi a t il envoyé 2 loups bouffer anton ? sinon ton récit est interressant vivement la baston et que gustav von carstein se fasse pourrir la gueule | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 18:59 | |
| Eh bien... S'il a envoyé ces loups, c'était pour tester Anton ! Aprés, le vampire (gustav) n'attend que de mêler le fer avec ce stirlander _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Zacharus Chevalier
Nombre de messages : 271 Age : 35 Localisation : le Nord gris et glacial Date d'inscription : 23/11/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 19:25 | |
| eh bien il a du être déçu Anton a failli se faire bouffer et il était même pas foutu de trouver son épée Il a du mal contre des loups alors j'imagine pas contre un seigneur vampire Ah oui aussi -C'est pour cela que vous étes venu êtes -que vous avez garder gardé Je suis chiant hein ? Je te previendrai si j'en trouve d'autres | |
| | | Julien Capitaine
Nombre de messages : 348 Age : 41 Localisation : Chateau Reikguard (lyon) Date d'inscription : 27/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 19:52 | |
| Toujours cette bonne petite lecture du dimanche :) Vivement la semaine prochaine Tu écris dans la semaine avant d'y mettre au propre le dimanche matin? | |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 17 Déc 2006 - 20:32 | |
| Même pas ! C'est le dimanche même que les mots me viennent _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Dim 24 Déc 2006 - 1:37 | |
| Anton descendit du carosse. -Ramenez tout ceci, et arrangez moi les dégâts... soupira le Ludenhof.
"Pas trop tôt... Bon, dire ''bonne nuit'' à Karl et dormir. Vous avez vos objectifs, Ludenhof !" pensa l'homme en souriant. Anton traversa la petite cour de son domaine. On pouvait voir quelques arbustes et statues pratiquement entièrement dissumulés dans l'obscurité de cette nuit glaciale.
Les portes du château s'ouvrirent par l'action de deux hommes, habillé comme de simples domestiques. -Bonsoir Baron... dirent-ils en coeur. Anton ne les regarda même pas. Ce n'était que des paysans déguisés. Ils ne méritaient pas son regard.
-Bien le bonsoir, Baron Ludenhof... dit le vieux Waldenmar en essayant de s'incliner autant que ses vieux os lui permettaient. -Quelles nouvelles durant mon absence ? dit Anton en se dirigeant en traversant le hall d'entrée. -Le jeune Karl a reçut ses résultats de l'Académie d'Escrime de Wurtbad... -Les résultats ? demanda Anton en se retournant dans l'escalier. -Eh bien, oui, Baron... -Par Sigmar ! Ces résultats ! dit le Baron en se tappant sur le front. -Souhaitez vous les connaître ? demanda Waldenmar en caressant sa longue barbe grise. -Evidemment ! -Votre fils a eu les félicitations de la part de tous les professeurs de l'Académie, devenant ainsi le meilleur élève de sa section... -Ah ! Mon fils ! Waldenmar, prenez congé. -De prendre congé ? demanda le vieil homme au regard suspicieux. -Absolument ! Je me sens d'excellente humeur ce soir ! -Le Baron est trop bon... dit Waldenmar en s'inclinant, pendant qu'Anton montait les escaliers de marbres blanc.
"Les félicitations ! Je savais que donner quelques subventions à l'Académie allait aider Karl... Bah, de toute façon, talentueux comme il est, j'ai sans douter perdu mes couronnes d'or !" pensa Anton en riant. Il se dirigeait vers la chambre de son fils, lorsqu'il entendit une porte se fermer dérrière lui. -Bonsoir, Baron Ludenhof, dit Valmir. -Bonsoir, précepteur de mon fils ! répondit Anton. -On vous a dit les résultats ? -Certainement, et je tenais à vous remercier. Je ne regrette pas de vous avoir engager... -Mais c'est honneur et un privilège ! -Comme a dit un certain Sire d'Altdorf : "Les Impériaux, de n'importe quelle province, haissent les inégalités, mais tous, approuvent les privilèges !" -C'est bien vrai ! répondit le précepteur en riant. -Dites moi, vous n'ètes pas sans savoir que demain je m'en vais en guerre... -Si vous tenez à vous entretenir avec moi, que cela soit ailleurs que devant la porte du petit, vous ne pensez pas ? demanda poliement Valmir. -Oui, vous avez tout à fait raison. Allons dans mon bureau...
Les deux hommes se dirigèrent ainsi vers la pièce, d'habitude strictement interdite aux serviteurs, à l'exception du vieux Waldenmar. Ils traversèrent ainsi le salon, avec ses murs décoraient par de magnifiques tapisseries. Enfin, ils arrivèrent devant les portes du bureau du Commandeur Suprême. Anton chercha ses clefs dans sa veste, et ouvrit la porte.
Une fois à l'intérieur, Anton alla s'asseoir dans son confortable siège, fabriqué par les menuisiers d'Averheim. -Je vous en prie, prenez place, dit le Baron en désignant une chaise, sans le moindre confort apparent. -Vous disiez donc ? -Je vais partir en guerre contrer la menace de la Sylvanie. Je veux, et noter bien que je n'ai pas dit ''je voudrais'', que vous vous occupiez du domaine de Biberhof, dit Anton en regardant Mànnslieb dérrière lui, qui ne se voyait qu'à peine. -Vous pouvez compter sur moi, comme toujours, dit l'homme en abaissant la tête. -Si j'avais pu, j'aurais donné ce travail à Waldenmar, mais il est trop vieux... -Pourquoi donc ? -Car vous ne connaissez pas aussi bien que lui les secrets de ce château... Néanmoins, vous vous occuperez de ce domaine. J'ai cru comprendre que certains paysans commençaient à contester mes impôts ? -Ma foi, cela est vrai... -Trés bien. Vous vous occuperez alors de leur infliger une sanction exemplaire... -Mais, Baron, ils n'ont rien fait de concret, juste... -Dix coups de bâtons ? -Ils n'ont même pas prononcer des injures à votre nom, et... -Vingt coups ? -Baron, je... -Va pour trente ! Trente est un chiffre parfait... C'est le nombre des Joueux d'Epées qui m'accompagneront ! dit Anton en souriant. -Bien, Baron... dit Valmir embarassé. -Vous garderez un oeil sur Karl ? -Les deux ! -Alors c'est parfait ! J'ai eu une journée assez chargée, j'ai besoin de me reposer... -D'aprés moi, il doit être environ deux heures du matin, Baron... -Et sur quoi vous basez vous ? Les étoiles et les lunes sont cachées ! dit Anton en se levant. -Eh bien, ce n'est qu'approximation... dit Valmir en imitant son seigneur. -Approximation ou pas, je suis exténué ! Anton prit bien soin de fermer son bureau à clef, des documents confidentiels y étaient rangés.
En remontant à l'étage, le Baron se dirigea vers la chambre de son fils. Entrant dans sa chambre, il chuchota à l'oreille de l'enfant profondément endormi : -Je suis trés fier de toi... Je te promets de rentrer aussi vite que je pourrais, comprends que je défends la vie des Stirlanders, et donc la tienne. A mon retour, nous combattrons à l'escrime... Puis, Anton se releva et ouvrit la porte. -Père... Surpris, le Ludenhof se retourna. -Oui ? -N'oubliez pas de tremper le corps de ce vampire dans les eaux bénies de la Cathédrale de Wurtbad... -Qui t'as dit ça ? -Maître Valmir... -Comptes sur moi !
Et Anton referma la porte de la chambre...
"Ce petit m'étonnera toujours..." _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Lun 25 Déc 2006 - 20:31 | |
| Waldenmar attendait au pied de l'escalier. On pouvait voir sur son visage couvert de rides, son inquiétude. -Mais que fait-il ?! Le soleil est levé depuis plus de trois heures ! dit le vieil homme en regardant vers la chambre de son maître. -Ne vous inquiétez pas... dit Valmir. Le precepteur était habillé de sa meilleure tenue. Celle-ci était noire, rappellant que l'homme avait eu un passé dans la fonderie de Nuln. A l'époque, il s'occupait des tâches administratives, si communes à tous les jeunes impériaux... -Oui, mais tout de même ! Waldenmar a déjà préparer le carosse ! Et pourtant, cet homme est un fainéant, entre nous, répondit le serviteur en tirant sur sa barbe. -Faites moi confiance, Ludenhof est sans doute en train de mettre son armure, répondit l'homme en faisant un sourire tel, que ses yeux se plissèrent. -Son armure ?! Mais c'est du fer météorique ! s'étonna le vieil homme en ouvrant grands les yeux. -Oui, oui, tout à fait, se contenta de dire Valmir en regardant une magnifique sculpture de Freya. Vous savez ce qu'a fait la guerrière-reine durant sa vie ? -Evidemment, mais ce n'est pas le propos ! Il faut au moins trois hommes pour monter une telle armure ! Dois-je vous rappeller qu'elle couvre de la tête au pied ?! commença à s'enerver Waldenmar. -Peut-être, mais Ludenhof a toujours tenu à se débrouiller seul, et ceci depuis que je le connais. C'est d'ailleurs étrange que vous ne le sachiez pas... dit Valmir en se caressant sa moustache brune. -C'est parce qu'il ne fait pas ça ! Aucun Baron ne pourr... -Bonjour, Valmir et Waldenmar, dit Anton Ludenhof. Le Commandant Suprême portait l'armure en question. Celle-ci lui avait été offerte par le Marius Leitdorf, lors d'un tournoi de tir. De plus, autour de son cou, pendait un petit pendentif. Le bijoux avait été à Anton par l'Archilecteur de Nuln, pour sa bravoure passée contre la menace verte. Il portait également comme couvre-chef son chapeau de parade. Trois magnifiques plumes de griffons y étaient attachés par un crâne, de celui qui osa toucher le corps de sa femme. -Monseigneur, mes respect, dirent en coeur les deux hommes. Sans s'arrèter, Anton se dirigea vers les cuisines. -Valmir, Karl est il parti à Wurtbad ? demanda le général, qui faisait tout pour faire voler sa longue cape rouge. -Il est parti il y a maintenant deux heures. Là-bas, il retrouvera un de mes collègues pour qu'il puisse admirer votre départ, répondit en souriant le précepteur. -Parfait ! Waldenmar, des nouvelles ? demanda Anton en s'asseyant à la grande table. Que l'on m'amène de quoi manger, Halefing ! -Tout de suite, monseigneur ! dit le petit cuisinier. Le halefing portait un tablier un peu trop grand pour lui, le blanc de la tenue était taché par du sang. -Le Capitaine Meltburg a envoyé un messager. Il sera là d'ici quelques minutes... dit l'homme en mettant les mains dérrière son dos. -Excellent... Vraiment... Est-ce tout ? demanda Anton en récupérant un bol que venait d'apporter le cuisinier. -Aucune autre missive, monseigneur... dit Waldenmar en baissant la tête en signe de respect.
Swen Meltburg chevauchait vers Biberhof. Il avait quitté sa petite maison de Julbach, où il vivait seul. Il portait son armure de plate, ainsi que l'épée de son père. Celle-ci était parfaitement équilibrée, et le Capitaine n'avait connu que peu d'êtres capables d'attaquer avant lui. Son cheval, Frenak, était un vieux pur-sang alezan, aux balsanes blanches, beaucoup moins fougueux que Tornac. "On va droit à l'échec ! Encore ce matin, on m'a informé que certains réfugiés s'étaient battus avec des soldats stirlanders. On a aucune chance de vaincre une telle force avec une armée divisée !" ainsi pensa le jeune officier en entrant dans le domaine d'Anton Ludenhof. Des paysans courbés le saluèrent. -Bonj... Bonjour, monseigneur... dit un vieillard, qui tenait debout grâce à un bâton. -Bien le bonjour ! Que Sigmar vous protège ! répondit Swen en souriant et en retirant son chapeau. -Chassez les morts de notre province, monseigneur ! dit une femme depuis une fenêtre, d'une maison insalubre. -Comptez sur l'Armée du Stirland ! dit le Capitaine en donnant un coup d'étrier à Frenak, qui se mit au galop. Il sentit ses poils se dresser, signe de l'honneur qu'il recevait lorsqu'on l'appellait "monseigneur". Swen se souvenait d'un elfe venu de la lointaine Ulthuan. Son nom était Ecthelion. Ce guerrier arrogant menait à cette époque un petit contingent. "Une armée ne peut gagner si elle n'est pas unie. C'est ce qui fait la différence entre nos deux forces..." avait dit ce Commandeur. Le jeune Meltburg approuvé ses dires. Et jusqu'à preuve du contraire, son supérieur n'avait quasiment rien fait pour unifier son armée ! La silhouette du château des Ludenhof commença à apparaître. Un portail noir barrait la route, qui était gardé par un hllebardier, qui était par ailleurs obèse et sale. -Qui va là ?! demanda un Hallebardier, qui se gratta le postérieur. -Le Capitaine Swen Meltburg, je dois rencontrer le Commandant Suprême des Forces du Stirland au plus vite ! dit Swen en se dressant sur ses étriers. -Oulà... Je vous ouvre, monseigneur... dit le soldat en sentant ses doigts. "Mais c'est quoi ce porc ?!" pensa le Capitaine en détournant le regard. Le portail s'ouvrit sur la cour du château.
-Yah, Frenak ! Yah ! dit Swen à sa monture. Et le cheval se cabra et galopa vers la porte principale, cachée par un carosse rafistolé. Cette allée était longue, et sur les côtés, on pouvait y admirer d'immenses arbres, où des écureuils et des pies regardèrent l'homme.
-Ah, j'entends des bruits de sabots... dit Valmir au Baron en tendant l'oreille vers une des fenêtres. -Juste à temps ! Valmir, Waldenmar, je vous laisse... dit Anton en ouvrant en grand les portes de sa demeure. Anton avait terminé son déjeuner depuis quelques minutes, et portait maintenant un fourreau à sa hanche gauche. -Commandant Suprême des Forces du Stirland, vous avez mes respect ! dit Swen en mettant pied à terre, et en s'inclinant. -Capitaine du Stirland, vous les avez également ! dit Anton en souriant et en mettant une main sur l'épaule de son second. "Il est de bon humeur ce matin, c'est plutôt bon signe... Je vais en profiter pour lui parler de cette question de "cohésion" -Waldenmar ! cria le Baron. Le cocher, cette fois-ci, sortit précipitamment des écuries. -Oui, monseigneur ? dit l'homme, qui portait un manteau de fourrure et un chapeau à plume. -Je vois que vous n'avez pas réparé mon carosse ! commença à s'énerver Anton. -C'est que... Nous nous sommes fait attaqués cette nuit, je n'ai pas eu le temps de tout réparer... dit le cocher en baissant la tête. -Vous vous ètes fait attaquer ? demanda Swen en regardant l'état du carosse. Le toit avait un gigantesque trou, à peine masqué par quelques planches. La vitre arrière était brisée, mais aucun bout de verre n'était dans le compartiment. -Oui, par trois loups... Je vous raconterez tout. Montez, donc... dit Anton en montant dans le compartiment. _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
| |
| | | Anton Ludenhof Empereur
Nombre de messages : 1575 Age : 34 Localisation : Prés de Toulouse Date d'inscription : 23/04/2006
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... Sam 30 Déc 2006 - 15:55 | |
| Waldenmar finit par monter, aprés quelques minutes à essayer de réparer le carosse, et prit les rennes. Le carosse devait se dépêcher. Wurtbad attendait le Commandant Suprême des Forces du Stirland. Pour l'occasion, quatre chevaux avaient été installés, tous d'une blancheur impressionnante, indiquant clairement l'importance de leur propriétaire. -Yah ! En avant, pour Wurtbad ! cria Waldenmar, en faisant claquer son fouet dans l'air. -Bonne route, Baron ! Comptez sur moi ! dit Valmir en s'inclinant. -Que Sigmar vous protège ! dit le vieil homme, en tentant lui aussi de s'incliner.
Alors que le carosse traversait la grande allée, Swen demanda à son supérieur : -Sauf votre respect, vous ne les saluez pas ? demanda le jeune homme en craignant le pire. Anton ouvrit en grand ses yeux, et ouvrit la porte du compartiment. -Prenez soin de vous et de Biberhof, cria le général à ses serviteurs, juste avant de refermer la porte et de remettre son chapeau correctement, qui avait failli tomber du carosse. Pendant que celui-ci avançait, l'hallebardier obèse ouvrit le portail et les salua en levant son chapeau, chapeau qui par ailleurs n'avait que pour ornement une plume noirâtre et sale. -Excusez moi, encore une fois, mais pourquoi avoir engagé un hallebardier aussi... aussi... dit Swen en regardant l'homme avec un certain dédain. -Vous voulez le savoir ? demanda Anton en levant la tête et en regardant de haut son second. -Ma foi, oui... dit le Capitaine inquiet de la réponse. Le Commandant Suprême des Forces du Stirland se mit à regarder son domaine, Biberhof, défilait devant ses yeux, et répondit au jeune Meltburg. -Je suis l'un des plus grands seigneurs de cette terre, terre bénie par Sigmar lui-même. Il est de mon devoir de donner mon corps et mon âme au Grand Comté du Stirland, dit Anton fièrement. -Et en cela, vous avez préféré engager cet homme obèse et sale, à la place d'un soldat jeune et fort, pour qu'il puisse aller à la défense du Grand Comté du Stirland, je me trompe ? dit Swen en souriant. -Tout à fait. Vous ètes perspicace, Meltburg, trés perspicace... dit Anton en cherchant quelque chose dans le coffre, qui pouvait être atteint grâce aux dégats de la veille. -Que cherchez vous donc, Monseigneur ? demanda Swen en faisant une sorte de jeu de sourcils. Anton ressortit son bras, et au bout, se trouver un parchemin. Il se dressa, et enleva sans trop de peine une des planches qui protégeait les passagers de la pluie, sans trop de peine car Waldenmar n'avait pas eu le temps de la clouer correctement. Le Ludenhof posa la planche sur ses genoux, et ceux de son second, puis déroula le parchemin. C'était une carte finement ouvragé du Stirland, ainsi que des provinces qui l'entouraient, comme l'Averland. -Bien, maintenant, il serait temps de penser à notre traversée, dit Anton en souriant, et en faisant passer son doigt de Wurtbad à Leicheberg. -D'aprés ce que je sais, Wurtbad se trouve à environ trois jours de marche de Leicheberg, dit Swen en se caressant le menton. -D'accord, et de toute façon, je crains que l'on ne puisse se permettre d'aller moins vite... répondit Anton en tappotant sur la planche. -Il faudrait que durant la première journée... -Donc, celle-ci... -Absolument, il faudrait atteindre Schollach, c'est réalisable. Ce qui m'inquiète par contre, c'est que la voie directe passe par la forêt... dit Swen en faisant une mine embarassée. -C'est une bonne idée, et si vous faîtes allusion aux bandits, ne vous inquiétez pas. Ce n'est pas une poignée de brigands qui s'opposeront à une armée entière ! dit le général en se redressant. -Très bien... Le second jour, de Schollach à Langwald, et le troisième jour, de Langwald à Leichberg, cela vous convient ? demanda Swen en esperant qu'il n'allait pas parler des collines. -Et pourquoi ne passerait-on pas par les collines ? proposa Anton en mettant le doigt sur leur emplacement sur la carte. -Monseigneur, les collines ne sont pas sûres ces derniers temps. On soupçonne que... -Attendez, de toute façon, nous n'avons pas le choix ! Sinon, ce serait prendre une flotte et profiter du Stir, ce que nous ne pouvons pas faire ! Vous me voyez en train de mettre... combien a-t-on de soldats ? demanda Anton, l'oreille attentive et le regard perçant. Swen sortit un papier de sa veste, et répondit : -D'aprés le Sergent Runger, nous avons quatre-cent Stirlanders, et six-cent hommes du nord, pour un total de mille soldats. -Bon, esperons que cela sera suffisant. Pour revenir à notre traversée, nous n'avons pas le choix. Il faut traverser ces collines... dit Anton en souriant. -Des messagers affirment que... -Qu'importe les messagers ! Si vous avez une alternative, je vous suis... dit le général en donnant un petit coup dans une petite porte devant lui. Celle-ci s'ouvrit quelques instants plus tard. -Monseigneur ? demanda Waldenmar en penchant la tête vers son maître. -Nous sommes à combien de temps de Wurtbad ? ordonna Ludenhof sur un air supérieur. -A environ... Je dirais que dans une vingtaine de minutes, vous appercevrez les remparts, répondit Waldenmar en se dressant pour voir les signes de la route. Le cocher se repencha et comme son maître regardait ailleurs, prit conscience qu'il devait refermer la portière. Ce qu'il fit.
-Commandant Suprême, qu'est-il arrivé à ce carosse ? demanda Swen en craignant une nouvelle fois le pire. -Oh, j'avais complétement oublié de vous en parler ! En rentrant hier soir de Wurtbad, nous nous sommes fait attaqués par trois loups. Un d'eux, je m'en suis chargé avec mon pistolet, dit Anton en montrant son arme. Le second, a réussi à se mettre sur le toit, et a enfoncé ce même toit, dit l'homme en pointant les dégâts au dessus de lui. J'ai pu m'en charger. Le dernier, en revanche, n'était autre que le serviteur du vampire que l'o n doit combattre. Il ne m'a pas agressé, mais m'a prevenu que la route jusqu'à Leicheberg serait dangereuse... dit le Ludenhof en ayant une mine embarassée. -Ne vous en faîtes pas, votre armée sera là ! dit Swen en souriant. -En parlant de mon armée, il faut que je vous confesse quelque chose... dit Anton en baissant la tête. -Oui ? -Je n'ai pas fait mon travail correctement. Notre armée est divisée, entre Stirlanders et hommes du nord... Et, ça, croyez moi, si on n'y fait rien, c'est l'échec assuré... -J'allais vous en parler, Monseigneur. Je ferais tout mon possible pour vous aider, soyez en certain ! dit Swen en s'inclinant, enfin, s'incliner comme on pouvait le faire dans un carosse, qui plus est carosse rafistolé. -Je vous remercie, de mon côté, je vais tâcher d'unir les soldats... Tenez, voici Wurtbad, vous allez voir ce que je vais faire ! répondit Anton en riant.
Wurtbad, la plus grande cité du Stirland, était fortement animé, alors que le soleil n'allait pas tarder à atteindre son zénith. Des soldats en uniforme aussi propre que leur permettait l'armée du Grand Comté, avait reçu une heure de quartier libre, et dépensait leur peu d'argent pour la traversée. Certains achetaient de la nourriture, d'autre des protections mystiques contre le Mal, et d'autre des plumes vertes et jaunes pour embellir leur couvre-chef. Les citoyens, eux, s'activaient beaucoup plus. La quasi-totalité des forces du Stirland était réunie ici, et il se fallait de satisfaire cette clientèle.
Alors que le carosse avançait repidement, de par la force de ses quatre chevaux au trot, une petite fille chargé d'un lourd panier manqua de peu que les roues du véhicule ne lui écrasent le pied. La fille aux cheveux blonds, qui portait une petite robe bleue, rappellant ses yeux, montré sur son visage à la fois sa peur et sa honte, car le jeune Capitaine avait ouvert sa portière. -Petite ! Rien de cassé ? Cocher, vous auri... -Laissez, Meltburg, dit Anton en sortant et en se dirigeant vers la fille. Il mit un genoux à terre, et lui parla lentement, mais assez fort pour que l'on puisse l'entendre. -Tu m'as fait peur... A ce que je vois, tu n'as rien. Sigmar soit loué ! dit Anton en devenant de plus en plus rouge. -Excus... excusez moi, balbutia la fille, qui ne savait pas comment réagir devant un pareil acte de gentillesse. -Je me dois de te dédommager, est-ce que deux Couronne d'Or te feraient plaisir ? dit le général en laissant échapper des larmes. -Monseigneur... C'est trop, je... essaya de dire la fille. -Allons, c'est normal. Tiens, et tâche de t'offrir quelque chose qui saura te faire oublier cette peur. Je suis désolé de ne pouvoir t'accompagner, j'ai du travail, répondit le Ludenhof en mettant les deux pièces dorées dans la main de la fille. Que Sigmar te protège ! Le Commandant Suprême des Forces du Stirland s'en retourna dans son carosse. Swen, surpris du comportement inhabituel de son supérieur, le suivit. Les gens qui avaient assisté à la scène, et parmi eux, une dizaine de soldat, s'inclinèrent devant le carosse d'Anton, qui se remit en route.
-Monseigneur, vous pleurez ? demanda Swen, en priant de ne pas faire une erreure. -Oui, ce sont de fausses larmes. On m'avait appris durant mes études à les faire, que voulez vous ! C'est la politique ! Et puis, regardez, il y avait quelques soldats, cette histoire va se répandre... dit Anton en se frottant les mains. Swen s'inclina de nouveau : -Excellent coup, monseigneur...
Le carosse arriva alors dans la place du Comte Martin, où attendait une trentaine de joueur d'épées. Leurs armures étincelantes leur donnaient un aspect divin. La bannière representait le Comte Martin pourfendant Mannfred Von Carstein. Anton descendit, ainsi que Swen. Le premier alla serrer la main à ses vaillants soldats, tandis que le second se contentait d'une signe de tête. -Quel plaisir de te voir Otto ! dit Anton en saluant le champion du Comte. Le joueur d'épée avait sur son armure des plaques dorées, sa tête était coiffé de lauriers et son épée avait un pommeau en mithril. Il avait des cheveux blonds, coupés courts, ainsi qu'une petite moustache. -Moi de même, Commandant Suprême des Forces du Stirland. Nous y allons ? demanda-t-il d'un air intérrogateur. -Où sont mes hommes ? demanda Anton, en se retournant vers la statue du Comte Martin. -A la Porte Est, monseigneur, répondit Otto en abaissant la tête. -Alors, allons-y ! Et vous, Meltburg, ne restez pas planté là ! En formation ! ordonna Anton en tirant son épée de son fourreau. _________________ Soutenez la Menace du Stirland : http://auteur-mds.skyrock.com/
Dernière édition par le Sam 30 Déc 2006 - 19:47, édité 1 fois | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: La Menace du Stirland... | |
| |
| | | | La Menace du Stirland... | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|